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l'USAP sur tous les Fronts

Si c'est le cas, on sait au moins à quoi pourrait servir le "fonds" Matanavou…
Rivière ne doit pas apprendre tout ça dans l'Indep. Mais c'est quand même bizarre la façon dont ce journal distille l'info.
Quel rapport avec le match contre Dax avec ce titre "l'USAP sur tous les fronts" ? Pourquoi ne pas écrire "Rivière sur tous les fronts" ?
Peut-être s'agit-il d'une queue de contentieux comme il doit y en avoir dans tous les clubs et toutes les boites de France et de Navarre…
Qui leur a filé les informations ? Qui a intérêt à ce que cela sorte ces jours-ci ?
Vous avez dit bizarre ????
 
l argent pour c est personne la a étai provisionné dans le budget et l affaire delpoux et en notre faveur en général les rappel ne change rien ésperon le. pour guirado pas surpris du tous les pleurs lors de la relégation étai une façade il fessai de la comédie personne maintenant ne joue pour le maillot pour la région. il ne sont même pas reconnaissant c est grâce a l usap qui en sont la mais bon c est comme ca il ne mérite q une chose le mépris honte a guirado vaha tao pour hook je suis un peu plus clément vue qui na pas grandit dans notre club.
 
Si c'est le cas, on sait au moins à quoi pourrait servir le "fonds" Matanavou…
Rivière ne doit pas apprendre tout ça dans l'Indep. Mais c'est quand même bizarre la façon dont ce journal distille l'info.
Quel rapport avec le match contre Dax avec ce titre "l'USAP sur tous les fronts" ? Pourquoi ne pas écrire "Rivière sur tous les fronts" ?
Peut-être s'agit-il d'une queue de contentieux comme il doit y en avoir dans tous les clubs et toutes les boites de France et de Navarre…
Qui leur a filé les informations ? Qui a intérêt à ce que cela sorte ces jours-ci ?
Vous avez dit bizarre ????
On est au courant de ces affaires depuis des mois.
des anciens joeurs assignent usap au prud hommes
L`esprit usapiste !
Hook, Mermoz et Planté, il me semble à propos des droits à l'image à un moment.
Delpoux, on le sait aussi depuis des années.

Quant à "l'USAP sur tous les fronts" : terrain sportif et terrain judiciaire.
Dire qu'il y a un procès la semaine prochaine qui pourrait nous couter des centaines de milliers d'euros car l'USAP n'a pas payé ses joueurs comme convenu, je ne vois pas ce qu'il y a d'anti USAP. Ni même d'anti Rivière vu que les histoires concernant les joueurs datent de Goze.
 
Dernière édition:
L'article de l'indep :

peine commencée, la saison de l'USAP s'inscrit dans la difficulté avec l'impérieuse nécessité de s'imposer contre Dax, vendredi à Aimé-Giral, et la perspective d'un procès ruineux contre l'ancien N.10 gallois, James Hook.

Si ce n'était les grosses chaleurs sévissant dans les Pyrénées-Orientales, le thermomètre est monté haut du côté de l'USAP et, sur le terrain comme en coulisses, il n'est pas prêt de redescendre. La gifle (41-13) infligée jeudi dernier à Aurillac a mis un gros coup de pression sur l'effectif. L'ampleur du score, son effet de surprise et la déception qu'il a fait naître, interpelle sur la profondeur du groupe à certains postes. Une réaction est attendue vendredi soir à Aimé-Giral contre Dax.




Un duel tendu, qui précède un autre match, au tribunal de commerce cette fois-ci, où l'ancien ouvreur James Hook réclame près de 375 000 euros au titre des droits d'image. Chaud devant...

  • 1 Quel joueur supplémentaire ?
Au-delà des mesures punitives infligées aux joueurs, dont une séance vidéo à 5 h 30 du mat' au retour d'Aurillac, le staff de l'USAP planche sur le dossier du recrutement.

C'était en germe durant l'intersaison, et les deux premiers matches l'ont confirmé : il y a nécessité à enrôler un joueur supplémentaire. Oui mais quand et à quel poste ? Réponse sibylline du président François Rivière. "Il n'y a pas d'urgence. Il est vrai qu'avec la non-venue de Matanavou, nous récupérons une enveloppe budgétaire. C'est à Christian Lanta (le manager sportif) de l'utiliser au mieux. Mais ce ne sera pas forcément en N.10..." Se hâter lentement d'ici la fin du bloc. Ainsi les dirigeants préfèrent-ils patienter quelques matches supplémentaires afin de trouver l'homme idoine. Un talonneur ? Un 2e ligne sauteur ? Un ailier finisseur ? Le choix se fera en fonction des secteurs régulièrement déficients.

  • 2 Le procès Hook
À peine sortie d'un procès qu'elle replonge dans un autre. L'USAP connaît la chanson. Quinze ans que ça dure. Cette fois-ci, le conflit concerne l'ancien ouvreur gallois James Hook (2011-14), qui réclame 375 000 euros au titre de droits d'image impayés. L'affaire se réglera le 13 septembre au tribunal de commerce de Perpignan. Évidemment, devant pareille somme, le président Rivière fait grise mine. "La démarche de Hook est étonnante. Si par malheur pour le club il devait y avoir condamnation, il y aura appel", témoigne-t-il, estimant subir la complexité du droit à l'image.

Ce n'est pas tout. En marge du dossier Hook, plusieurs anciens de la maison - Guilhem Guirado, Luke Narraway, Sébastien Vahaamahina, Sébastien Taofifenua, Maxime Mermoz et Watisoni Votu - ont également assigné l'USAP devant les tribunaux afin de récupérer des semaines de congés payés.

L'USAP ne prend pas ces caprices du destin à la légère. Après l'affaire Delmas, qui a coûté 330 000 euros et le procès Delpoux, toujours en cours, où 417 000 euros sont en jeu, le portefeuille du président risque d'être de nouveau mis à contribution.

  • 3 Dax, le trublion
Les saisons se suivent et ne se ressemblent pas pour Dax, habitué à flirter avec la relégation depuis deux saisons. Là, les Landais ont frappé fort d'entrée, en faisant tomber le finaliste Aurillac (20-19), avant de s'incliner d'une courte tête chez le demi-finaliste Mont-de-Marsan (33-29). Impressionnant. Et inquiétant. Dans la mesure où l'USAP est loin d'avoir trouvée sa cohésion et son équilibre, elle devra rester sur ses gardes. Ce qui veut dire améliorer sa touche, son jeu au pied, sa discipline, son attaque, sa défense... Les chantiers ne manquent pas.
 
C'est très joli de la part de Guirado et dans une moindre mesure Tao et Vaha.
C'est la reconnaissance du ventre.
Ils doivent leur carrière à l'Usap et sont capables d'assigner leur club pour recuperer quelques malheureux jours de congés alors meme qu'ils tournent à plus de 20.000 euros mensuels.
Y a pas de mots pour décrire une telle mentalité.
Mais ca confirme bien ce que je pensais d'eux depuis quelques années.
Ils n'ont qu'une valeur : l'argent.

C'est triste. Grand bien leur en fasse.
La seule chose que je souhaite c'est de ne plus jamais les voir à Aimé Giral (qui doit se retourner dans sa tombe).

Mention particulière à Guirado qui donne l'exemple.

ça s'appelle le SPORT PROFESSIONNEL (beurk quel vilain mot) tout simplement.
Si ton patron ne respecte pas les clauses qu'il a signé dans ton contrat de travail, tu vas aller taper à sa porte pour réclamer ton dû.

C'est la même chose ici. Le problème est, il me semble plus général puisque la seule et unique "valeur" partagée aujourd'hui est celle du fric, et ce dans toutes les couches de la société. Malheureusement le rugby n'échappe pas à la règle et c'est pas demain que ça va changer.

Libre à nous de cautionner ou pas ce triste spectacle, en rendant son décodeur C+ par exemple (pour moi c'est fait), ou en boycottant Aimé Giral mais là..j'avoue je suis addict depuis 30 ans et ça risque d'être vraiment très compliqué...
 
L'article de l'indep :

peine commencée, la saison de l'USAP s'inscrit dans la difficulté avec l'impérieuse nécessité de s'imposer contre Dax, vendredi à Aimé-Giral, et la perspective d'un procès ruineux contre l'ancien N.10 gallois, James Hook.

Si ce n'était les grosses chaleurs sévissant dans les Pyrénées-Orientales, le thermomètre est monté haut du côté de l'USAP et, sur le terrain comme en coulisses, il n'est pas prêt de redescendre. La gifle (41-13) infligée jeudi dernier à Aurillac a mis un gros coup de pression sur l'effectif. L'ampleur du score, son effet de surprise et la déception qu'il a fait naître, interpelle sur la profondeur du groupe à certains postes. Une réaction est attendue vendredi soir à Aimé-Giral contre Dax.




Un duel tendu, qui précède un autre match, au tribunal de commerce cette fois-ci, où l'ancien ouvreur James Hook réclame près de 375 000 euros au titre des droits d'image. Chaud devant...

  • 1 Quel joueur supplémentaire ?
Au-delà des mesures punitives infligées aux joueurs, dont une séance vidéo à 5 h 30 du mat' au retour d'Aurillac, le staff de l'USAP planche sur le dossier du recrutement.

C'était en germe durant l'intersaison, et les deux premiers matches l'ont confirmé : il y a nécessité à enrôler un joueur supplémentaire. Oui mais quand et à quel poste ? Réponse sibylline du président François Rivière. "Il n'y a pas d'urgence. Il est vrai qu'avec la non-venue de Matanavou, nous récupérons une enveloppe budgétaire. C'est à Christian Lanta (le manager sportif) de l'utiliser au mieux. Mais ce ne sera pas forcément en N.10..." Se hâter lentement d'ici la fin du bloc. Ainsi les dirigeants préfèrent-ils patienter quelques matches supplémentaires afin de trouver l'homme idoine. Un talonneur ? Un 2e ligne sauteur ? Un ailier finisseur ? Le choix se fera en fonction des secteurs régulièrement déficients.

  • 2 Le procès Hook
À peine sortie d'un procès qu'elle replonge dans un autre. L'USAP connaît la chanson. Quinze ans que ça dure. Cette fois-ci, le conflit concerne l'ancien ouvreur gallois James Hook (2011-14), qui réclame 375 000 euros au titre de droits d'image impayés. L'affaire se réglera le 13 septembre au tribunal de commerce de Perpignan. Évidemment, devant pareille somme, le président Rivière fait grise mine. "La démarche de Hook est étonnante. Si par malheur pour le club il devait y avoir condamnation, il y aura appel", témoigne-t-il, estimant subir la complexité du droit à l'image.

Ce n'est pas tout. En marge du dossier Hook, plusieurs anciens de la maison - Guilhem Guirado, Luke Narraway, Sébastien Vahaamahina, Sébastien Taofifenua, Maxime Mermoz et Watisoni Votu - ont également assigné l'USAP devant les tribunaux afin de récupérer des semaines de congés payés.

L'USAP ne prend pas ces caprices du destin à la légère. Après l'affaire Delmas, qui a coûté 330 000 euros et le procès Delpoux, toujours en cours, où 417 000 euros sont en jeu, le portefeuille du président risque d'être de nouveau mis à contribution.

  • 3 Dax, le trublion
Les saisons se suivent et ne se ressemblent pas pour Dax, habitué à flirter avec la relégation depuis deux saisons. Là, les Landais ont frappé fort d'entrée, en faisant tomber le finaliste Aurillac (20-19), avant de s'incliner d'une courte tête chez le demi-finaliste Mont-de-Marsan (33-29). Impressionnant. Et inquiétant. Dans la mesure où l'USAP est loin d'avoir trouvée sa cohésion et son équilibre, elle devra rester sur ses gardes. Ce qui veut dire améliorer sa touche, son jeu au pied, sa discipline, son attaque, sa défense... Les chantiers ne manquent pas.
Merci !
C'est un article intéressant qui fait le tour des questions chaudes. Pas de quoi parler d'article anti USAP ou anti Rivière. Et oui sur tous les fronts : recrutement, judiciaire, sportif.
 
l argent pour c est personne la a étai provisionné dans le budget et l affaire delpoux et en notre faveur en général les rappel ne change rien ésperon le. pour guirado pas surpris du tous les pleurs lors de la relégation étai une façade il fessai de la comédie personne maintenant ne joue pour le maillot pour la région. il ne sont même pas reconnaissant c est grâce a l usap qui en sont la mais bon c est comme ca il ne mérite q une chose le mépris honte a guirado vaha tao pour hook je suis un peu plus clément vue qui na pas grandit dans notre club.
Ouai enfin rappelons qu'on a perdu en appel contre delmas.....donc il est possible que le scénario se répète contre delpoux.....
encore de l'argent de perdu......put, tout ce qu'on aurait pu faire avec ça....mais bon ça fait deux ans qu'on ne cesse de radoter......
L'usap est dans le dur, on s'enquille maintenant l'amateurisme du président précédent
 
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