L’usap Face À Ses Limites - Lindependant.fr

[Articles de presse]

rugby à xv, pro d2. Battue par le Stade Montois (44-20) et tombée à la cinquième place, l’USAP est dans le dur.
La gifle reçue dimanche contre Mont-de-Marsan (44-20) sonne comme un terrible retour sur terre pour l’USAP. La formation catalane, après un bon premier quart d’heure, a heurté de plein fouet ses limites du... Lire la suite

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[clement6628]

J'ai pas lu l'article, mais quand il parle de formation catalane (de qui il parle le journaliste ?) ayant fait un bon premier quart d'heure et se casser la gueule après, qu'il explique comment l'USAP marche à l'envers alors que sa réputation était le dernier quart d'heure catalan !
Tiens une bonne double question à @clement6628 ou à @Océan qui ne répondent jamais : pourquoi nos joueurs du crû n'étaient pas fatigués de ce temps-là alors que les équipes d'en face étaient cuites et pourquoi c'est le contraire aujourd'hui ?

Avant cette débâcle, on était sur un 20/20 à domicile et on avait largement mis en avant notre physique où on voyait qu'on prenait le dessus sur nos adversaires en fin de match.

 

[KeyvAnalyse]

on avait largement mis en avant notre physique où on voyait qu'on prenait le dessus sur nos adversaires en fin de match.

Mais non t'as tout faux !

pourquoi nos joueurs du cru n'étaient pas fatigués de ce temps-là alors que les équipes d'en face étaient cuites et pourquoi c'est le contraire aujourd'hui ?

Moi j'ai la réponse m'sieur ! C'est parce qu'aujourd'hui l'équipe de l'USAP n'est qu'un ramassis de ces dangereux îliens du Pacifique qui à force de collectionner les cordes à linge et autres gestes criminels pendant le match arrivent cramés dans le dernier quart d'heure ! J'crois même que c'est une consigne de Lanta. J'ai juste ?

 

[cazac]

L’USAP face à ses limites




Battue par le Stade Montois (44-20) et tombée à la cinquième place, l’USAP est dans le dur.

La gifle reçue dimanche contre Mont-de-Marsan (44-20) sonne comme un terrible retour sur terre pour l’USAP. La formation catalane, après un bon premier quart d’heure, a heurté de plein fouet ses limites du moment face à un concurrent pour la qualification. « On est tombé sur meilleur que nous », a souligné le directeur sportif Christian Lanta.
Sur plus frais, aussi. Là où Mont-de-Marsan avait changé onze titulaires par rapport à l’équipe qui a battu Aurillac le week-end précédent (17-16), l’USAP n’avait substitué que deux éléments de l’équipe de départ tombeuse de Narbonne (24-13). Jonathan Bousquet et Alasdair Strokosch entrants à la place de Mathieu Acebes, blessé et Christophe André. Un choix du staff moins dicté par une éventuelle quête de stabilité que par les difficultés rencontrées pour faire tourner. Confronté à une cascade de défections, Patrick Arlettaz, dont l‘effectif était déjà très limité en nombre, s’appuie sur un noyau dur réduit qui enchaîne les matches. « C’est un effectif qu’on a usé », a pointé Lanta. Logiquement, les joueurs manquent de jus. Un constat qui a sauté aux yeux face au Stade Montois. Or, le style de jeu ambitieux prôné par Arlettaz nécessite une grosse débauche d’énergie. Que les Catalans ne sont pas capables de fournir en ce moment.

L’USAP rame depuis Montauban


Depuis la première mi-temps contre Montauban lors de la cinquième journée (victoire 30-6), l’USAP n’a plus donné l’impression de dominer son sujet. Moins fluides, plus prévisibles, les sang et or peinent à imposer leur style. Les individualités peuvent permettre aux Catalans de s’en sortir, comme à Narbonne où Mamea Lemalu et Mafi avaient forcé la décision, mais le Stade Montois offre cette saison une autre opposition que le RCNM. Avec le recul, on peut toujours reprocher au staff de ne pas avoir suffisamment fait tourner pour préserver ses titulaires. C’est sûrement vrai mais les remplaçants n’ont pas apporté beaucoup de garanties que ce soit contre Nevers, malgré la victoire (35-19) ou à Béziers (21-8). Reste que pour ne pas avoir choisi de le faire quand ils le pouvaient, les entraîneurs risquent d’y être contraints sans vraiment le vouloir. Dès dimanche à Angoulême ?

 

[Fpgt66]

Merci pour l'article !

 

[clement6628]

Avec le recul, on peut toujours reprocher au staff de ne pas avoir suffisamment fait tourner pour préserver ses titulaires. C’est sûrement vrai mais les remplaçants n’ont pas apporté beaucoup de garanties que ce soit contre Nevers, malgré la victoire (35-19) ou à Béziers (21-8). Reste que pour ne pas avoir choisi de le faire quand ils le pouvaient, les entraîneurs risquent d’y être contraints sans vraiment le vouloir. Dès dimanche à Angoulême ?

Ce n'est que mon simple avis, mais d'après moi, tout est question de dosage.
J'ai l'impression qu'on découvre que les remplaçants sont moins bons que des titulaires. Beh ouais, par définition, si un remplaçant est meilleur qu'un titulaire, il serait titulaire. Certes après les écarts peuvent être plus ou moins grands. Donc oui, forcément, quand tu changes en totalité la première ligne et la charnière sur un match, il y a moyen que ce soit trop d'un coup.
D'ailleurs, Arlettaz a reconnu lundi qu'il a sûrement un peu raté son roulement. Par exemple, prenons le cas de la première ligne. Sur les cinq premiers matchs, nous jouons avec les six mêmes joueurs sans aucun changement. Oui, certainement, il aurait été intéressant de titulariser une fois Mailau aux côtés des titulaires, une fois Lam, une fois Boutemmani, de donner quelques minutes à Walcker, De Fauverge et Lemaire car on sait dès le départ qu'en cas de blessures, c'est eux qui seront appelés.

 

[rouste66]

Le quart d heure catalan ça toujours été le 1er et pas le dernier.

 

[pixe]

Quart d'heure catalan = "money time". C'est la période en fin de match où la partie se gagne : en gros le dernier quart d'heure ...

Non. Le quart d' heure Catalan, c' est le début de match qui éteint toutes vélléités adverse d' entrée.

Rien à voir avec le money time.