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Beaucoup ici s'inquiètent pour les touches. C'est sur c'est mieux d'en prendre plus que moins. Mais on progresse.
Par contre, moi ce sont nos sorties de camps qui m'inquiètent. Contre Oyonnax, elles nous coûtent cher. A Paris aussi. Contre le racing, Bayonne, Montpellier à aimé Giral, elles nous remettent sous pression.
Plusieurs types d'erreurs, de la touche non trouvés, l'en avant à la réception, la faute dans le rugby... Et la pour le coup, c'est un vrai chantier. De coordination des 15. D'adaptation.
On va pas tout jeter, la plupart sont plutôt bonnes, voir excellentes. Comme celle où Allan finit derrière l'en but contre la Rochelle. Mais le petit pourcentage de ratés, qui fait prendre des points des l'entame où juste après avoir mis des points, doit être réduit au maximum si on veut garder espoir de faire un 100% à domicile et d'autres résultats à l'extérieur.
Notre ami @FAUST soulignait la difficulté de reprendre en seconde mi temps sur le même rythme qu'on finit la première, notamment quand on finit sur une grosse phase défensive. Si en plus on offre une occasion à cette adversaires ça devient très dur. Et si on calcule l'énergie dépensée pour défendre après des sorties de camps ratés, ça fait mal.
Il faudra également définir la sortie de camp. Quand le ballon passe dans le camp adverse ? Quand on a la possession dans une zone non dangereuse ( les 40 par exemple), quand on met l'adversaire sous pression ? Est ce que la touche et la phase défensive suivant une sortie de camp compte toujours dedans ?
Alors, on est pas les seuls à en rater non plus. Miotti peut en parler. Mais, autant pour la touche on prend les capitales ( sur nos 5 par exemple), et je trouve et les stats montre que on progresse. On peut gagner avec un pourcentage de réussite Pas terrible. Autant en prenant des points à chaque fois qu'on en met, c'est très dur.
Il y a un cas très intéressant, c'est celui à l'aréna la saison dernière. On mène. On prends 3 points plutôt que la touche. Le racing vient chez nous sur le renvoie. Nous met la pression, on se met à la faute, le racing marque et prend le lead du match. Match plié, et ça finit même en branlée.
Par contre, moi ce sont nos sorties de camps qui m'inquiètent. Contre Oyonnax, elles nous coûtent cher. A Paris aussi. Contre le racing, Bayonne, Montpellier à aimé Giral, elles nous remettent sous pression.
Plusieurs types d'erreurs, de la touche non trouvés, l'en avant à la réception, la faute dans le rugby... Et la pour le coup, c'est un vrai chantier. De coordination des 15. D'adaptation.
On va pas tout jeter, la plupart sont plutôt bonnes, voir excellentes. Comme celle où Allan finit derrière l'en but contre la Rochelle. Mais le petit pourcentage de ratés, qui fait prendre des points des l'entame où juste après avoir mis des points, doit être réduit au maximum si on veut garder espoir de faire un 100% à domicile et d'autres résultats à l'extérieur.
Notre ami @FAUST soulignait la difficulté de reprendre en seconde mi temps sur le même rythme qu'on finit la première, notamment quand on finit sur une grosse phase défensive. Si en plus on offre une occasion à cette adversaires ça devient très dur. Et si on calcule l'énergie dépensée pour défendre après des sorties de camps ratés, ça fait mal.
Il faudra également définir la sortie de camp. Quand le ballon passe dans le camp adverse ? Quand on a la possession dans une zone non dangereuse ( les 40 par exemple), quand on met l'adversaire sous pression ? Est ce que la touche et la phase défensive suivant une sortie de camp compte toujours dedans ?
Alors, on est pas les seuls à en rater non plus. Miotti peut en parler. Mais, autant pour la touche on prend les capitales ( sur nos 5 par exemple), et je trouve et les stats montre que on progresse. On peut gagner avec un pourcentage de réussite Pas terrible. Autant en prenant des points à chaque fois qu'on en met, c'est très dur.
Il y a un cas très intéressant, c'est celui à l'aréna la saison dernière. On mène. On prends 3 points plutôt que la touche. Le racing vient chez nous sur le renvoie. Nous met la pression, on se met à la faute, le racing marque et prend le lead du match. Match plié, et ça finit même en branlée.