stef66
USAPiste convaincu
https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/biarritz_64122/pro-d2-l-avenir-du-biarritz-olympique-va-t-il-passer-par-une-fusion-ou-une-delocalisation_39619353.html
Sportivement le Biarritz Olympique (3e de Pro D2) se porte plutôt bien, c’est en coulisses que le torchon brûle au BO. Ce mardi 16 février, la nouvelle maire de Biarritz, Maider Arosteguy, élue en juin dernier, a refusé l’aménagement du plateau d’Aguilera voulu par le BOPB de Jean-Baptiste Aldigé, car elle l’a tout simplement jugé trop onéreux.
« Le rugby professionnel nous amène dans des dépenses gigantesques, qui se rapprochent des besoins financiers du football et une collectivité de 25 000 habitants ne peut plus suivre financièrement », a indiqué ainsi la premier édile biarrote, ce mardi en conférence de presse, avant de demander aux promoteurs du projet de revoir leur copie à la baisse.
« Le risque, c’est que l’actionnaire décide de ne plus financer le club »
En somme, le club de rugby de la cité balnéaire présidé par Jean-Baptiste Aldigé est renvoyé dans ses 22 en étant invité à chercher de nouveaux partenaires pour revenir avec un projet plus viable. C’est un énorme coup de massue pour les dirigeants du BO qui avaient clairement lié la pérennisation du club à l’exploitation commerciale de ce dossier, qui n’aboutira donc pas en raison du rejet de la municipalité.
Dans ces conditions, on peut donc forcément s’interroger sur l‘avenir du club basque. « Le risque, effectivement, c’est que l’actionnaire qui est propriétaire de cette entreprise privée décide, même s’il en a les moyens, de ne plus financer le club« , expliquait d’ailleurs la nouvelle maire de Biarritz, Maider Arosteguy, devant la presse.
Une liquidation ou une délocalisation ?
Mais, ce jeudi 18 février, RMC Sport fait état de deux hypothèses extrêmes qui sont actuellement sur la table du président Jean-Baptiste Aldigé et de la famille Gave, actionnaire majoritaire à hauteur de 90% : soit la liquidation pure et simple avec la fermeture du Biarritz Olympique, ou, plus étonnant encore, une délocalisation. Si le rapprochement avec le rival historique de l’Aviron Bayonnais ne semble pas d’actualité, une nouvelle ville, française ou basque, pourrait ainsi fusionner avec l’équipe pro du BOPB, et débarquer dans le paysage du rugby français, selon RMC Sport. Les dirigeants biarrots n’écartent, en tout cas, pas cette éventualité et étudient toutes les possibilités pour ne pas « fermer le club« . Des discussions existeraient en ce sens, en particulier avec la Fédération Française de Rugby. Un feuilleton à suivre de très près donc.
Sportivement le Biarritz Olympique (3e de Pro D2) se porte plutôt bien, c’est en coulisses que le torchon brûle au BO. Ce mardi 16 février, la nouvelle maire de Biarritz, Maider Arosteguy, élue en juin dernier, a refusé l’aménagement du plateau d’Aguilera voulu par le BOPB de Jean-Baptiste Aldigé, car elle l’a tout simplement jugé trop onéreux.
« Le rugby professionnel nous amène dans des dépenses gigantesques, qui se rapprochent des besoins financiers du football et une collectivité de 25 000 habitants ne peut plus suivre financièrement », a indiqué ainsi la premier édile biarrote, ce mardi en conférence de presse, avant de demander aux promoteurs du projet de revoir leur copie à la baisse.
« Le risque, c’est que l’actionnaire décide de ne plus financer le club »
En somme, le club de rugby de la cité balnéaire présidé par Jean-Baptiste Aldigé est renvoyé dans ses 22 en étant invité à chercher de nouveaux partenaires pour revenir avec un projet plus viable. C’est un énorme coup de massue pour les dirigeants du BO qui avaient clairement lié la pérennisation du club à l’exploitation commerciale de ce dossier, qui n’aboutira donc pas en raison du rejet de la municipalité.
Dans ces conditions, on peut donc forcément s’interroger sur l‘avenir du club basque. « Le risque, effectivement, c’est que l’actionnaire qui est propriétaire de cette entreprise privée décide, même s’il en a les moyens, de ne plus financer le club« , expliquait d’ailleurs la nouvelle maire de Biarritz, Maider Arosteguy, devant la presse.
Une liquidation ou une délocalisation ?
Mais, ce jeudi 18 février, RMC Sport fait état de deux hypothèses extrêmes qui sont actuellement sur la table du président Jean-Baptiste Aldigé et de la famille Gave, actionnaire majoritaire à hauteur de 90% : soit la liquidation pure et simple avec la fermeture du Biarritz Olympique, ou, plus étonnant encore, une délocalisation. Si le rapprochement avec le rival historique de l’Aviron Bayonnais ne semble pas d’actualité, une nouvelle ville, française ou basque, pourrait ainsi fusionner avec l’équipe pro du BOPB, et débarquer dans le paysage du rugby français, selon RMC Sport. Les dirigeants biarrots n’écartent, en tout cas, pas cette éventualité et étudient toutes les possibilités pour ne pas « fermer le club« . Des discussions existeraient en ce sens, en particulier avec la Fédération Française de Rugby. Un feuilleton à suivre de très près donc.