RUBI10
USAPiste sérieux
Pro D2 – EXCLU Enzo Selponi (USAP) : « On se voile un peu la face »
Perpignan a subi ce dimanche à Vannes sa quatrième défaite de la saison en cinq rencontres (13-19). À l’issue du premier bloc du championnat, les Catalans pointent donc à une bien triste 15e place. Malgré cette mauvaise passe, Enzo Selponi, titulaire à l’arrière face aux Vannetais, a accepté de répondre à nos questions.
Enzo, vous avez sûrement des regrets au vu de la physionomie de la première mi-temps ?
Enzo Selponi : En première mi-temps, nous étions bien partis, nous dominions relativement le match. Après, comme lors de nos autres matchs, nous laissons tomber un nombre de ballons incalculables… On perd des ballons sur nos lancements et, ensuite, c’est difficile d’enchaîner.
Vous pensez être passés à côté de quelque chose ?
E.S. : Ce n’est pas le seul match où l’on passe à côté de quelque chose, je pense que l’on se voile un peu la face. C’est un peu difficile d’accepter tout ça, il va falloir que l’on travaille dur, encore et encore pour arriver à gagner un match.
Il y a tout de même du positif à retenir de cette rencontre en comparaison de vos dernières sorties. Est-ce encourageant pour la suite ?
E.S. : Je ne sais pas si c’est encourageant mais oui, c’est sûr, il y a du mieux. Mais on espère toujours mieux ! Il y a des moments où l’on doit breaker mais on ne le fait pas. C’est dans ces moments-là que l’on voit les grosses équipes et je pense que l’on est encore loin d’en être une.
La semaine de trêve va vous faire du bien…
E.S. : J’espère. On va retrouver un peu nos familles respectives et on va pouvoir souffler. J’espère que l’on retrouvera les terrains avec la joie et la bonne humeur.
Vous comptez sur le soutien de vos supporters dans ces moments difficiles ?
E.S. : Oui, comme d’habitude. Ils sont toujours là, même à Vannes, après huit heures de route, ils étaient là. J’espère qu’ils le seront toujours, même si, je sais qu’on les déçoit. Mais nous sommes les premiers déçus, donc j’espère qu’ils seront toujours derrière nous pour nous pousser, encore et encore.
Perpignan a subi ce dimanche à Vannes sa quatrième défaite de la saison en cinq rencontres (13-19). À l’issue du premier bloc du championnat, les Catalans pointent donc à une bien triste 15e place. Malgré cette mauvaise passe, Enzo Selponi, titulaire à l’arrière face aux Vannetais, a accepté de répondre à nos questions.
Enzo, vous avez sûrement des regrets au vu de la physionomie de la première mi-temps ?
Enzo Selponi : En première mi-temps, nous étions bien partis, nous dominions relativement le match. Après, comme lors de nos autres matchs, nous laissons tomber un nombre de ballons incalculables… On perd des ballons sur nos lancements et, ensuite, c’est difficile d’enchaîner.
Vous pensez être passés à côté de quelque chose ?
E.S. : Ce n’est pas le seul match où l’on passe à côté de quelque chose, je pense que l’on se voile un peu la face. C’est un peu difficile d’accepter tout ça, il va falloir que l’on travaille dur, encore et encore pour arriver à gagner un match.
Il y a tout de même du positif à retenir de cette rencontre en comparaison de vos dernières sorties. Est-ce encourageant pour la suite ?
E.S. : Je ne sais pas si c’est encourageant mais oui, c’est sûr, il y a du mieux. Mais on espère toujours mieux ! Il y a des moments où l’on doit breaker mais on ne le fait pas. C’est dans ces moments-là que l’on voit les grosses équipes et je pense que l’on est encore loin d’en être une.
La semaine de trêve va vous faire du bien…
E.S. : J’espère. On va retrouver un peu nos familles respectives et on va pouvoir souffler. J’espère que l’on retrouvera les terrains avec la joie et la bonne humeur.
Vous comptez sur le soutien de vos supporters dans ces moments difficiles ?
E.S. : Oui, comme d’habitude. Ils sont toujours là, même à Vannes, après huit heures de route, ils étaient là. J’espère qu’ils le seront toujours, même si, je sais qu’on les déçoit. Mais nous sommes les premiers déçus, donc j’espère qu’ils seront toujours derrière nous pour nous pousser, encore et encore.
