Comment expliquez-vous le revers à Bayonne ?
Bertrand GUIRY: J'ai le sentiment que nous avons à peu près respecté le plan de jeu. Les conditions climatiques difficiles ne permettaient pas de mettre un gros volume. Mais on a peut-être manqué un peu de précision au pied, en étant trop long. Et puis il y a eu des fautes stupides. Cela découle sur trois cartons jaunes. Dans ce genre de contexte, c'est un mal récurrent. Il nous est parfois délicat de nous adapter, de pratiquer un jeu pragmatique. Malgré tout, on finit à 13-10. C'est frustrant, surtout que nous avons été devant au score durant une partie du match.
Vous prenez tout de même un point de bonus défensif...
B.G.: On est davantage satisfait que si l'on n'avait rien ramené du tout mais notre intention en venant au pays basque était de gagner. Alors c'est un moindre mal mais, je le répète, l'objectif était de l'emporter. En ce sens, c'est une contre-performance. Et c'est encore une occasion de ratée. Oui, une nouvelle fois, on empoche un bonus défensif à l'extérieur mais ça ne suffit pas. On s'est compliqué la tâche pour la suite.
Justement, alors que vous allez vous déplacer à Toulouse vendredi, vous avez absolument besoin de vous imposer enfin à l'extérieur pour espérer encore atteindre les phases finales. Y croyez-vous toujours ?
B.G.: Il est évident que ce sera plus dur désormais mais nous sommes loin d'avoir dit au revoir à la H Cup. Non, il faudra réaliser un exploit encore plus grand. Et il faudra au moins deux victoires à l'extérieur. Il peut y avoir un coup du sort mais il faut impérativement gagner hors de nos bases.
Rugbyrama - Propos recueillis par Jérémy FADAT, envoyé spécial Midi Olympique-Rugbyrama.fr
Bertrand GUIRY: J'ai le sentiment que nous avons à peu près respecté le plan de jeu. Les conditions climatiques difficiles ne permettaient pas de mettre un gros volume. Mais on a peut-être manqué un peu de précision au pied, en étant trop long. Et puis il y a eu des fautes stupides. Cela découle sur trois cartons jaunes. Dans ce genre de contexte, c'est un mal récurrent. Il nous est parfois délicat de nous adapter, de pratiquer un jeu pragmatique. Malgré tout, on finit à 13-10. C'est frustrant, surtout que nous avons été devant au score durant une partie du match.
Vous prenez tout de même un point de bonus défensif...
B.G.: On est davantage satisfait que si l'on n'avait rien ramené du tout mais notre intention en venant au pays basque était de gagner. Alors c'est un moindre mal mais, je le répète, l'objectif était de l'emporter. En ce sens, c'est une contre-performance. Et c'est encore une occasion de ratée. Oui, une nouvelle fois, on empoche un bonus défensif à l'extérieur mais ça ne suffit pas. On s'est compliqué la tâche pour la suite.
Justement, alors que vous allez vous déplacer à Toulouse vendredi, vous avez absolument besoin de vous imposer enfin à l'extérieur pour espérer encore atteindre les phases finales. Y croyez-vous toujours ?
B.G.: Il est évident que ce sera plus dur désormais mais nous sommes loin d'avoir dit au revoir à la H Cup. Non, il faudra réaliser un exploit encore plus grand. Et il faudra au moins deux victoires à l'extérieur. Il peut y avoir un coup du sort mais il faut impérativement gagner hors de nos bases.
Rugbyrama - Propos recueillis par Jérémy FADAT, envoyé spécial Midi Olympique-Rugbyrama.fr
