santgaldric
USAPiste sérieux
- Inscrit
- 1 Juin 2018
- Messages
- 1 435
- Réactions
- 1 041
Question existentielle ! Finalement, si cette écrasante victoire contre les pumas n'était pas une bonne nouvelle pour le rugby français ? Comme d'habitude nous allons nous trouver excellent (comme après la victoire contre l'équipe C d'Ecosse à Nice au mois d'août).
L'espoir faisant vivre, le risque se situe peut-être là.
Nous pouvons faire un exploit en poule en battant les rosbeefs avec un Penaud de gala, un Dupond avec un grand D et une mêlée conquérante.
Résultat le gratin de la FFR aura la banane de circonstance du travail accompli et ils pourront faire les beaux à la TV et dans les journaux en tenant des propos de ce style de retour en France :
Nous avons atteint les quarts. le contrat est honoré puisque c'était l'objectif initial et il n'était pas facile à atteindre, nous devions battre cette grande nation Argentine classée N°11 à l'IRB, juste devant la Géorgie. Alors, pourquoi tout révolutionner ? Ha oui j'avais oublié depuis 2012 nous sommes nuls ? Mais vous voyez, le travail paye, nous sommes bien en place sur notre objectif qui est d'être sacré champion du monde en 2023 à la maison.
Edito de Bonnot :
L'espoir faisant vivre, le risque se situe peut-être là.
Nous pouvons faire un exploit en poule en battant les rosbeefs avec un Penaud de gala, un Dupond avec un grand D et une mêlée conquérante.
Résultat le gratin de la FFR aura la banane de circonstance du travail accompli et ils pourront faire les beaux à la TV et dans les journaux en tenant des propos de ce style de retour en France :
Nous avons atteint les quarts. le contrat est honoré puisque c'était l'objectif initial et il n'était pas facile à atteindre, nous devions battre cette grande nation Argentine classée N°11 à l'IRB, juste devant la Géorgie. Alors, pourquoi tout révolutionner ? Ha oui j'avais oublié depuis 2012 nous sommes nuls ? Mais vous voyez, le travail paye, nous sommes bien en place sur notre objectif qui est d'être sacré champion du monde en 2023 à la maison.
Edito de Bonnot :