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Dopage

...
je ne parle pas de dopage, ni d'infiltration , lambert non plus semble t il (mais je n'ai pas lu le livre !)à ce que j'ai lu oui, c'est lui qui parle d'infiltration ce sont les journalistes qui font le rapprochement , lambert semble juste dire qu on a tirer un peut fort sur la ficelle !
même si lambert n'etait plus medecin de l usap puisqu'il en est parti, il peut donner son avis, maintenant, pourquoi donne t il son avis ? reglement de compte ? conscience
je te dis, je ne polemique pas

par contre je crois savoir que lambert a un rapport particulier avec la santé physique, au delà de son role de medecin et de la deontologie qui va avec; lambert a souffert d'une pathologie assez rare suffisament handicapante pour ne plus pouvoir marcher, être reformé militaire....et comme parfois dans ces pathologies, il y a des remissions, c 'est là que lambert s'est mis au sport, il etait un super athlete ( record de france veteran de saut à la perche il me semble à une epoque ) et après il s'est interressé à la medecine du sport.

est ce que cela le rend credible ? personellement, c'est quelqu un en qui j'ai confiance .

la betise dans l histoire c'est l amalgame fait avec le dopage ! c 'est pas la même chose, mais je repète,je n'aipas lu le bouquin
Ma réponse en couleur...
 
Pour avoir pas mal d'antennes dans le milieu médical perpignanais, l'appréciation sur Olivier Lambert peut se résumer à "compétent et consciencieux"..

Compétent dans quel domaine ?
Entraineur d'athlétisme ? médecin généraliste ? voir médecine sportive ? mais être le toubib d'un club pro va bien au delà. les repères sont très différents entre un athlète de haut niveau qui s'entraine 15/20 h par semaines et un patient sédentaire.
Je ne sais pas quel est sa compétence dans ce domaine, mais je sais que c'est un domaine très pointu et très rares sont les toubibs assez compétent pour juger leurs pairs. Dans les P.O. il y en a probablement moins que les doigts d'une main.
Je ne remets pas en cause la qualité professionnelle de Lambert, mais sa déclaration maintenant, 6 ans après, ça fait plus règlement de comptes que chevalier blanc.
 
Compétent dans quel domaine ?
Entraineur d'athlétisme ? médecin généraliste ? voir médecine sportive ? mais être le toubib d'un club pro va bien au delà. les repères sont très différents entre un athlète de haut niveau qui s'entraine 15/20 h par semaines et un patient sédentaire.
Je ne sais pas quel est sa compétence dans ce domaine, mais je sais que c'est un domaine très pointu et très rares sont les toubibs assez compétent pour juger leurs pairs. Dans les P.O. il y en a probablement moins que les doigts d'une main.
Je ne remets pas en cause la qualité professionnelle de Lambert, mais sa déclaration maintenant, 6 ans après, ça fait plus règlement de comptes que chevalier blanc.

Franchement c'est un bon, il a suivi mes deux ruptures des croisés et a été mon doc pendant 4 ans, mais le problème de Lambert et l'USAP n'a rien à voir avec la compétence médicale. Brunel a levé un coin du voile dans son communiqué.
 
lambert était le doc privé de carter ...on parle santé, et pas dopage !

Une semaine après la sortie du livre “Rugby à charges”, l’ancien doc de l’USAP n’en démord pas : le club n’a pas respecté la santé de Dan Carter. « Or les médecins du sport prennent des risques juridiques considérables », se défend-il aujourd'hui, tirant la sonnette d'alarme au nom de sa profession.
Un matin, il y a quelques années, un avocat frappe à la porte du docteur Lambert. « Il me demandait 200 000 euros pour la blessure de Steve Meyer, au prétexte que je l’avais envoyé chez le chirurgien. Steve a perdu son genou à cause d’une vis Calaxo ayant provoqué une nécrose. Sur le coup, j’ai été attaqué en justice, alors qu’il s’agissait d’une malfaçon des laboratoires Smith§Nephew. Heureusement que Smith§Nephew a tout payé sinon, tu te retrouves collé au mur avec des menaces de procès. Il faut être conscient des risques qu’on encourt. »
La judiciarisation des actes médicaux, cette épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête des blouses blanches, a-t-elle hanté Olivier Lambert au point de balancer, des années plus tard, les couleuvres et frustrations qu’il dit avoir (r)avalées durant son expérience de trois années à l’USAP (2004-07) ? Et de choisir symboliquement la star des All Blacks Dan Carter en tocsin de sa révolte. Un Carter sacrifié sur l’autel de la victoire à tout prix, accuse-t-il sans nuances. Une semaine après ses révélations dans le livre polémique “Rugby à charges”, le Chevalier Blanc Lambert persiste et signe, habillant les sang et or pour le printemps, avec une ordonnance salée à la clé. Au nom de sa profession, dit-il.
31 janvier 2009. Paris reçoit l’USAP au Stade de France (13-13). Coup de tonnerre dans les arrêts de jeu : Carter s’effondre, victime d’une rupture partielle du tendon d’Achille gauche. L’écho se propage à l’autre bout de la planète, où le médecin de la Fédération néo-zélandaise (NZRU) s’enquiert aussitôt des nouvelles du joyau de la Fougère. Le verdict est sans appel : six mois d’indisponibilité et 700 000 euros de salaires partant en fumée dans les coffres des actionnaires (dont Paul Goze) qui, aujourd’hui encore, remboursent le transfert de la star.
Mais pas de fatalité dans ce dossier, assure Lambert : « Olivier Barbier, le préparateur physique en charge des blessés, est allé voir le staff à la mi-temps en lui demandant de sortir Carter parce ce dernier n’en pouvait plus. Ils n’ont pas voulu et Carter s’est blessé. » A l’époque, Olivier Lambert a quitté le club depuis quelques mois. Mais il affirme que Dan Carter était fragilisé par des douleurs récurrentes au tendon depuis son arrivée au club, le 6 décembre 2008. « Il n’était pas besoin d’être médecin pour voir qu’il boitait et que sa blessure s’aggravait. Même si je n’étais plus le référent de l’USAP, il doit y avoir des traces de prescriptions - au cas où il y aurait une enquête - qui montrent qu’à l’époque je soignais Carter à titre personnel, comme d’autres joueurs. Ce n’est pas faute d’avoir alerté le club : arrêtez de faire jouer Carter, sinon, il va vous péter à la gueule. »
Lambert et ses collègues qui, parfois, sont tiraillés entre leur déontologie (ou intime conviction) et certaines moeurs du rugby, prêtes à porter la notion de sacrifice en bandoulière
Opéré avec succès le 6 février à la clinique de la Sauvegarde, à Lyon, par le docteur David Dejour, le meilleur ouvreur de la planète finira malgré tout la saison dans la peau d’un champion de France. Oui, mais en tribunes, dénonce encore Lambert : « Les radiologues m’ont refilé tout le dossier. Contrairement à ce que dit Paul Goze (l’ancien président), on a l’échographie et les IRM qui prouvent que le tendon d’Achille était épaissi dans sa partie moyenne, avec une importante réaction exsudative. C’était une inflammation en réponse aux ruptures de fibres. Le dernier stade avant la rupture. Dire que son tendon était normal, c’est mentir, et avoir pété sciemment le joueur. »
Et si Carter ou sa Fédé avaient porté plainte ? sous-entend-il avec gravité. Craintes du doc, protestations des patrons. Le président de la Ligue Paul Goze, qui ne souhaite pas entretenir la polémique, proteste en privé de la bonne foi du club. Pour la raison imparable, selon lui, qu’à l’époque Carter était suivi aux petits oignons par la NZRU, obnubilée par la Coupe du monde organisée au pays deux ans plus tard. Autrement dit : l’encadrement médical des Blacks n’aurait jamais donné son bon de sortie à Carter si sa santé avait présenté le moindre risque. Après sa blessure, le N.10 des sang et or fut effectivement suivi par un kiné de la NZRU, dépêché spécialement à Perpignan.
Pressions excessives ? Inconscience ? Mise en danger de la santé d’autrui ? Un peu de tout ça, décrit Lambert dans “Rugby à charges”, mentionnant plusieurs accrochages avec l’ancien manager Jacques Brunel. Lambert et ses collègues, ces médecins qui, parfois, sont tiraillés entre leur déontologie (ou intime conviction) et certaines mœurs du rugby, prêtes à porter la notion de sacrifice en bandoulière. Il est ainsi dans les gênes de ce sport de jouer malgré un bobo ; certains en font même un devoir. Lambert au parloir : « Les médecins du sport ont le cul entre deux chaises, c’est pourquoi il est important de prendre les décisions collégialement. Pierre Ballester a raison : on casse trop de joueurs, sans parler du scandale des K.-O. Or, il existe des portes de sorties. »
Aussi emblématique soit-elle, l’infortune de Carter n’est pas un exemple isolé. Richard Parks, Martin Arramburu, Percy Montgomery... autant de cas médicaux qui ont valu au docteur Lambert de batailler ferme, voire jusqu’à l’insulte, avec les entraîneurs successifs de l’USAP. Compétent dans son travail, mais prompt à monter chaque blessure en épingle, témoignent de leur côté d’anciens membres du club. « Je n’ai rien de personnel contre Brunel, mais il ne s’est pas rendu compte de la pression qu’il me mettait. Je reconnais que tout le monde subit un climat d’extrême tension et que, parfois, on peut tous perdre de la lucidité. Tous les médecins de club peuvent être confrontés à ce genre de dilemme, car nous sommes là pour protéger la santé des joueurs », confie l’intéressé, détaillant les contraintes de sa profession.« Être médecin auprès d’une équipe pro nécessite d’être formé spécifiquement, car on prend des risques juridiques considérables. Je constate qu’il y a une véritable déshérence de la médecine du sport en France. On a un vrai problème de reconnaissance de nos responsabilités. Pour moi, au-delà des polémiques, c’est le seul débat qui vaille. » Juste avant de clore définitivement le chapitre : « Je ne suis pas là pour casser mais améliorer les choses. Je reste toujours fan de l’USAP. »Et de sa bonne santé aussi, manifestement.
 
lambert était le doc privé de carter ...on parle santé, et pas dopage !

Ce que tu dis et l'extrait que tu présentes clarifient les choses :

- Lambert ne parle pas sur du vent.
- Il y a bien d'énormes pressions et risques et il faut être solide compétent ... Et suffisamment prudent.
- surtout que joueur de rugby ou pas, les actes médicaux ou chirurgicaux présentent des risques pour les sportif comme pour n'importe qui sauf que le préjudice est bien plus important (cas de Steeve Meyer)
- dans le cas de Carter, si la fédé NZ n'a pas trop renâclé c'est possiblement que les soucis tendineux de Carter précédaient son arrivée à l'USAP.

Après c'est marrant l'histoire des actionnaires : le club ne s'est pas couvert par une assurance sur le risque d'accident ou l'assurance n'a pas été actionnée pour qu'elle ne soit pas trop curieuse ?
 
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