Il a fait ses premières classes, dans un club qui a révélé Chouly et Palisson.
Dans une terre pas spécialement réputée pour ses clubs de haut niveau : La Haute Vienne (Limoges quoi).
A 15 ans, il était déjà au dessus du lot, un talent brut, une mentalité exemplaire.
Et surtout, un terme qui me fait bien marrer, car utilisé souvent à tort et à travers dans ce sport, il a l'humilité.
C'est-à-dire, qu'il devait la fermer et bosser, bosser, bosser, il ne suffit pas d'être doué dès son premier âge, ce n'est rien, c'est le travail qui construit le champion dans tous les sports.
Devenir pro, ce n'est pas facile. Il faut de la volonté et être en osmose avec son parent, visiblement chez les Tao cela semble être le cas.
Car il fallait se les taper les séances de rab d'entrainement après l'école de rugby, les footings avec le padre, tout ce taf qui se terminait parfois en chialant.
Pas de secret, sans travail, tu n'atteindras pas les sommets.
Tu rentres en sport de haut niveau comme dans les ordres.
Son père, connaissant le haut niveau, lui a inculqué les bonnes manières pour l'atteindre et accepter ses exigences, ce n'est pas facile, il faut trouver le juste équilibre entre le rôle de père, coach et surtout ne pas être
tyran.
Puis départ au centre de formation de l'ASM où les coachs catalans l'ont privé de temps de jeu. Le Racing a eu du bulbe, ils ont un diamant dans leur team, le premier Tao gringalet du rugby pro, et déjà dans le groupe France.
Dans une terre pas spécialement réputée pour ses clubs de haut niveau : La Haute Vienne (Limoges quoi).
A 15 ans, il était déjà au dessus du lot, un talent brut, une mentalité exemplaire.
Et surtout, un terme qui me fait bien marrer, car utilisé souvent à tort et à travers dans ce sport, il a l'humilité.
C'est-à-dire, qu'il devait la fermer et bosser, bosser, bosser, il ne suffit pas d'être doué dès son premier âge, ce n'est rien, c'est le travail qui construit le champion dans tous les sports.
Devenir pro, ce n'est pas facile. Il faut de la volonté et être en osmose avec son parent, visiblement chez les Tao cela semble être le cas.
Car il fallait se les taper les séances de rab d'entrainement après l'école de rugby, les footings avec le padre, tout ce taf qui se terminait parfois en chialant.
Pas de secret, sans travail, tu n'atteindras pas les sommets.
Tu rentres en sport de haut niveau comme dans les ordres.
Son père, connaissant le haut niveau, lui a inculqué les bonnes manières pour l'atteindre et accepter ses exigences, ce n'est pas facile, il faut trouver le juste équilibre entre le rôle de père, coach et surtout ne pas être
tyran.
Puis départ au centre de formation de l'ASM où les coachs catalans l'ont privé de temps de jeu. Le Racing a eu du bulbe, ils ont un diamant dans leur team, le premier Tao gringalet du rugby pro, et déjà dans le groupe France.
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