harlequins65
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AU RENDEZ-VOUS, LES CATALANS ONT CONFIRMÉ LEURS AMBITIONS SUR CE PREMIER BLOC.
Les Catalans ont retenu la leçon. Quinzièmes avec une seule victoire l’an dernier à la pareille époque, ils ont fait de cette entame de championnat un objectif majeur, bien conscients que course-poursuite et Pro D2 ne font pas bon ménage. Forts de leur expérience, et dans la droite ligne de leur dynamique printanière, les Perpignanais n’ont pas tergiversé. Leur démonstration devant Bayonne (66-6) fin août résonne comme un des premiers temps forts de l’édition 2017-2018. Paradoxalement, ce n’est pas la cérémonie d’ouverture contre des Basques fantomatiques qui a prouvé la maturité des Catalans mais les performances en déplacements : un bonus défensif à Colomiers (le premier depuis la descente de l’Usap en 2014) et un succès à Carcassonne. « C’est la victoire la plus importante depuis que je suis entraîneur de l’Usap », lâchait alors Patrick Arlettaz. Si, en Pro D2, le maintien se joue surtout à domicile, les six billets qualificatifs sont eux attribués à ceux qui voyagent bien...
Avec 20 points, une troisième place au classement et des prestations séduisantes, l’Usap a réssuré son monde. Encore faut-il reproduire ce schéma sur trente journées, avec la même efficacité. Ce qu ne fut pas toujours le cas... À Perpignan, le revers sans relief contre Béziers est apparu comme le match de trop dans une série de match qui commençait à se faire long...
Ce n’est pas un hasard, la distance sera le véritable ennemi cette saison d’une Usap privée d’une très grande profondeur de banc. Une formation qui commence déjà à accumuler les blessés. Il ne fait aucun doute que les quelques jours de repos auront permis aux coéquipiers de Lifeimi Mafi de refaire le plein de batterie. Et de combattre une usure qui s’apparente, comme l’adversaire numéro un de Perpignan cette saison. E.V.
Les Catalans ont retenu la leçon. Quinzièmes avec une seule victoire l’an dernier à la pareille époque, ils ont fait de cette entame de championnat un objectif majeur, bien conscients que course-poursuite et Pro D2 ne font pas bon ménage. Forts de leur expérience, et dans la droite ligne de leur dynamique printanière, les Perpignanais n’ont pas tergiversé. Leur démonstration devant Bayonne (66-6) fin août résonne comme un des premiers temps forts de l’édition 2017-2018. Paradoxalement, ce n’est pas la cérémonie d’ouverture contre des Basques fantomatiques qui a prouvé la maturité des Catalans mais les performances en déplacements : un bonus défensif à Colomiers (le premier depuis la descente de l’Usap en 2014) et un succès à Carcassonne. « C’est la victoire la plus importante depuis que je suis entraîneur de l’Usap », lâchait alors Patrick Arlettaz. Si, en Pro D2, le maintien se joue surtout à domicile, les six billets qualificatifs sont eux attribués à ceux qui voyagent bien...
Avec 20 points, une troisième place au classement et des prestations séduisantes, l’Usap a réssuré son monde. Encore faut-il reproduire ce schéma sur trente journées, avec la même efficacité. Ce qu ne fut pas toujours le cas... À Perpignan, le revers sans relief contre Béziers est apparu comme le match de trop dans une série de match qui commençait à se faire long...
Ce n’est pas un hasard, la distance sera le véritable ennemi cette saison d’une Usap privée d’une très grande profondeur de banc. Une formation qui commence déjà à accumuler les blessés. Il ne fait aucun doute que les quelques jours de repos auront permis aux coéquipiers de Lifeimi Mafi de refaire le plein de batterie. Et de combattre une usure qui s’apparente, comme l’adversaire numéro un de Perpignan cette saison. E.V.