De la réputation de l'Usap

[Marco]

Je pense que tu confonds beaucoup de chose. Plus que la perte annuelle, ce qui obsède la DNACG c'est la situation nette, le niveau des fonds propres. La LNR impose 20% de la masse salariale comme niveau prudentiel, quand tu fais des pertes la DNACG fronce les sourcils pour remettre ces fonds propres au niveau minimal et absorber les dites pertes. Pour ce qui est du cas de l'USAP, il y a ce niveau de fonds propres pour la SASP et d'autres part les filiales à 100% que sont les boutiques et les brasseries. En l'occurrence, je crois et il semble assez évident que le débat portait sur le fait que le club doit avoir un niveau de fonds propres (filiales comprises) qui couvrent l'ensemble des pertes. Il y a eu débat sous les présidences précédentes, dorénavant il semble que la DNACG a statué définitivement en considérant que les filiales à 100% portent un risque pour la SASP et qu'il ne suffit pas que la société USAP soit remise à flot par l’actionnaire principal pour que tous les risques qui pèsent sur sa structure financière soient écartés (le risque c'est que les créanciers exigent un remboursement dont la SASP serait responsable par ricochet et en premier lieu les dettes bancaires). Je l’interprète comme cela, notre Président a dû recapitaliser ou apporter sa garantie sur les fonds propres des filiales là où par le passé on considérait que la situation des filiales étaient déconnectées de la SASP. Je pense pas qu'il s'agisse de cadavres mais plutôt d'interprétation qui en évoluant ont fait grimper la surface de la garantie de l'actionnaire. Après, plus structurellement et de manière plus massive pour les brasseries que pour les boutiques, il y a un investissement qui a besoin d'une exploitation saine pour amortir une dette importante (1.4M€ de dettes bancaires pour des fonds propres négatifs de -0.5M€ dans les brasseries et 0.8M€ de dettes pour des fonds propres de -0.8M€ pour les boutiques). D'après ce que dit, parfois d'une manière brouillonne, notre Président, tout semble assez clair avec ces chiffres.
http://www.societe.com/bilan/les-brasseries-de-l-usap/520552175201306301.html
http://www.societe.com/bilan/les-boutiques-de-l-usap/478737109201306301.html

Il est unfait que c'est cette interprétaion qui a toujours posé problème . Depuis toujours , il y avait l'interprétation de la DNACG et celle de Dagrenat et De Goze ( j'ai aucune info au sujet de Besson et de Rivière) qui s'opposait ? L'es dirigeants de l'Usap ont tenus tête à la DNACG . Cette différences d'interprétation aurait du ou pu se régler en justice avec tous les risques que cela entraîne pour les 2 parties . Avec qui et à quel moment c'est l'interprétation de la DNACG qui a prévalu ?

Ce qui est ceratin c'est que si celui qui a rédigé le budget provisionnel a inclus des bénéfices pour la brasseries et des boutiques ils est normal qu'à la fin il y a un déficit dans le bilan annuel . De même pour la billetterie l'écart entre ce qui était prévu et ce qu'il est réellement rentré n'arrangera pas le bilan.

 

[colas]

Il est unfait que c'est cette interprétaion qui a toujours posé problème . Depuis toujours , il y avait l'interprétation de la DNACG et celle de Dagrenat et De Goze ( j'ai aucune info au sujet de Besson et de Rivière) qui s'opposait ? L'es dirigeants de l'Usap ont tenus tête à la DNACG . Cette différences d'interprétation aurait du ou pu se régler en justice avec tous les risques que cela entraîne pour les 2 parties . Avec qui et à quel moment c'est l'interprétation de la DNACG qui a prévalu ?

Ce qui est ceratin c'est que si celui qui a rédigé le budget provisionnel a inclus des bénéfices pour la brasseries et des boutiques ils est normal qu'à la fin il y a un déficit dans le bilan annuel . De même pour la billetterie l'écart entre ce qui était prévu et ce qu'il est réellement rentré n'arrangera pas le bilan.

Ce n'est pas un problème de budget mais de fonds propres que juge la DNACG et même s'il y a un lien quand la perte vient taper dans les fonds propres, tu peux faire ce que tu veux si tes fonds propres sont au niveau requis ! Là avec les dettes bancaires des boutiques et des brasseries, il y a un risque pour que les banques demandent à la SASP de rembourser, donc la DNACG exige que le club garantisse son engagement à honorer les dettes de ses filiales (2.2M€ en juin 2013 et on ne parle pas là des créances irrécouvrables, des provisions suffisantes ou insuffisantes pour lesquelles je me garderai bien d'avoir un avis définitif).

 

[Marco]

Je m'en tape de ton SI
Lis les messages en entier, tu réponds sans lire RADOTE !!

J'vais lu le message en entier . Seul m’intéresse le si .... le reste c'est ta vision , elle vaut ce qu'elle vaut .
Tiens un exemple pour la rendre plus compréhensible.
Un mec voit sa fille se noyer , un mec arrive avec son gros yacht, la sauve .. et la viole ..
Tu ferais quoi, si c'était toi le père? Tu l'embrasses parce qu'il a sauvé ta fille en disant :<< Chic , je serai peut-être grand-père ...>>
Cela m'étonnerait . Mais c'est ce que tu fais avec Rivière.:391581::391581::391581:

 

[Marco]

Je pense que tu confonds beaucoup de chose. Plus que la perte annuelle, ce qui obsède la DNACG c'est la situation nette, le niveau des fonds propres. La LNR impose 20% de la masse salariale comme niveau prudentiel, quand tu fais des pertes la DNACG fronce les sourcils pour remettre ces fonds propres au niveau minimal et absorber les dites pertes. Pour ce qui est du cas de l'USAP, il y a ce niveau de fonds propres pour la SASP et d'autres part les filiales à 100% que sont les boutiques et les brasseries. En l'occurrence, je crois et il semble assez évident que le débat portait sur le fait que le club doit avoir un niveau de fonds propres (filiales comprises) qui couvrent l'ensemble des pertes. Il y a eu débat sous les présidences précédentes, dorénavant il semble que la DNACG a statué définitivement en considérant que les filiales à 100% portent un risque pour la SASP et qu'il ne suffit pas que la société USAP soit remise à flot par l’actionnaire principal pour que tous les risques qui pèsent sur sa structure financière soient écartés (le risque c'est que les créanciers exigent un remboursement dont la SASP serait responsable par ricochet et en premier lieu les dettes bancaires). Je l’interprète comme cela, notre Président a dû recapitaliser ou apporter sa garantie sur les fonds propres des filiales là où par le passé on considérait que la situation des filiales étaient déconnectées de la SASP. Je pense pas qu'il s'agisse de cadavres mais plutôt d'interprétation qui en évoluant ont fait grimper la surface de la garantie de l'actionnaire. Après, plus structurellement et de manière plus massive pour les brasseries que pour les boutiques, il y a un investissement qui a besoin d'une exploitation saine pour amortir une dette importante (1.4M€ de dettes bancaires pour des fonds propres négatifs de -0.5M€ dans les brasseries et 0.8M€ de dettes pour des fonds propres de -0.8M€ pour les boutiques). D'après ce que dit, parfois d'une manière brouillonne, notre Président, tout semble assez clair avec ces chiffres.
http://www.societe.com/bilan/les-brasseries-de-l-usap/520552175201306301.html
http://www.societe.com/bilan/les-boutiques-de-l-usap/478737109201306301.html

Par contre il y a un truc qui me surprend: un déficit pour la brasserie et les boutiques de 2,5 M€ pour une année . Environ 1640 briques ( anciennes) ou 100 DS Citroen à 25 000 € chacune ..... , plus de 8 par mois ...
C'est démentiel .

 

[Océan]

Que se serait il passait si Riviére n'était pas venu ?
Est ce que les actionnaires auraient ils eu les reins assez solide pour supporter le poids du déficit Colossal de l'Usap ?
Rien qu'en me posant cette question, je me dis que nous avons eu une chance énorme d'avoir Rivière sous la main.
Alors bien sur, il vient pas d'arriver et surtout cette année nous descendons en PROD2 et la gestion de la saison a été catastrophique, mais le passé, c'est le passé et l'instant présent montre que: Sans un Messie à la tête de ce club, je pense pas que la DNACG nous aurait fait un cadeau.
Donc comme beaucoup de personnes ici, je peux dire que je suis très content que nous soyons sauvé en PROD2 et malheureux d'y être descendu !!
Maintenant, on va se régaler (je l’espère) de les voir jouer, même si il va falloir reconstruire une équipe .
Bonne chance et beaucoup de courage aux nouveau staff du club .

Si Rivière n'était pas venu...
Si Rivière n'était pas venu, les entrailles de la terre se seraient ouvertes et Aimé Giral aurait été englouti. Il aurait fait nuit noire pendant 40 semaines consécutives, la tramontane aurait soufflé nuit et jour à 150 km/h, le Castillet aurait été foudroyé matin midi et soir, le Canigou aurait été rasé et la méditerranée se serait retirée de 50 km.

...Ou alors les actionnaires auraient mis la main à la poche comme en 2011, en 2012 et en 2013
...Ou alors un autre gros poisson se serait offert l'USAP
...Ou alors on serait en pro D2

Va savoir ?

 

[Océan]

Par contre il y a un truc qui me surprend: un déficit pour la brasserie et les boutiques de 2,5 M€ pour une année . Environ 1640 briques ( anciennes) ou 100 DS Citroen à 25 000 € chacune ..... , plus de 8 par mois ...
C'est démentiel .

Ou t'as vu ça ?
déficit Brasserie : 205 900 € pour un CA de 1 042 800 €
déficit Boutiques 645 200 € pour un CA de 1 223 800 €

Soit une perte totale de 850 000 €, ce qui est déjà beaucoup

 

[colas]

Ou t'as vu ça ?
déficit Brasserie : 205 900 € pour un CA de 1 042 800 €
déficit Boutiques 645 200 € pour un CA de 1 223 800 €

Soit une perte totale de 850 000 €, ce qui est déjà beaucoup

http://www.lindependant.fr/2014/06/03/l-usap-survit-a-la-dnacg,1890538.php
Je pense que marco fait référence à cette phrase :
Pour l'instant, j'ai versé 2,2 millions de cash. J'ai repris 2,5 millions de dettes et c'est sur cette somme que la DNACG veut que j'apporte une garantie.

Mais il confond encore des choux et des carottes, Rivière parle de dettes et non de pertes (ou déficit).
Les 2.5M€ semblent correspondre à l'ensemble des dettes financières de la SASP et de ses filiales. Ou alors de l'ensemble des dettes (bancaires, fournisseurs, social) des filiales pour l'exercice en cours (ce qui semble probable au regard des enjeux et des "éléments" de langage).

 

[Marco]

http://www.lindependant.fr/2014/06/03/l-usap-survit-a-la-dnacg,1890538.php
Je pense que marco fait référence à cette phrase :
Pour l'instant, j'ai versé 2,2 millions de cash. J'ai repris 2,5 millions de dettes et c'est sur cette somme que la DNACG veut que j'apporte une garantie.

Mais il confond encore des choux et des carottes, Rivière parle de dettes et non de pertes (ou déficit).
Les 2.5M€ semblent correspondre à l'ensemble des dettes financières de la SASP et de ses filiales. Ou alors de l'ensemble des dettes (bancaires, fournisseurs, social) des filiales pour l'exercice en cours (ce qui semble probable au regard des enjeux et des "éléments" de langage).

Seul hic, le président François Rivière doit apporter une garantie supplémentaire d’un montant s’élevant à 1 million d’euros d’ici quinze jours, en guise de caution aux 2.5 millions de dettes cumulées par boutiques et brasseries. Un coup dur qui ne sape pas le moral du patron perpignanais
http://www.lindependant.fr/2014/06/03/l-usap-survit-a-la-dnacg,1890538.php

Décidément les choux , les carotes je veux bien mais on voudrait nous embobiner et nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Donc tu dis que tout le déficit ne vient pas des pertes des boutiques et de la barsserie , le reste c'est du à sa gestion , pas aux dettes laissés par Besson ...

Enfin de compte , tu es en train de me dire que j'ai raison : il n'est pas aussi bon que ça ... Dire qu'il est incompétent à gérer un club de rugby , c'est un pas que je m'empresserai de franchir.
Surtout que si maître Colas le dit...