Il est indéniable que souvent le n° 2 et le n° 3 du poste sont moins bons que le N° 1 mais leur rôle n'est pas simplement de subvenir aux absences des n° 1 , mais aussi de "pousser" le titulaire pour justement qu'il ne s'endorme pas sur ses lauriers et qu'il fasse le nécessaire pour mériter sa place de n° 1 . C'est à l'entraineur de créer une saine émulation à l'intérieur de son groupe. Parfois , il n'est pas nécessaire de faire grand chose : le n° 1 fait tout pour se maintenir à cette place , parfois il faut que l’entraîneur y contribue : à l'entrainement , sur la compo en inversant le role de titulaire et plus si cela s'avère nécessaire. De même l'entraineur doit maintenir la concurrence en donnant du temps de jeux aux "remplaçant" pour "affuter" leurs crocs .
Ensuite il y a des personnes qui sont enferrées dans leurs certitudes tellement fort qu'elles ne peuvent ou n'ont pas le courage d'envisager qu'elles puissent se tromper ( Cotet et Custoja sur la feuille de match contre le Munster ne sont pas rentrés malgré l'épuisement des piliers en place) : dans la vie courante on dit qu'elles sont bornées.
Ces personnes à l'armée ou dans l'entreprise on ne leur confie pas des postes de commandement: à l'Usap on lui adonné les pleins pouvoirs et comme soit disant sanction on l'a confirmé lundi dernier dans ce rôle.
Il y a des personnes pour justifier leur échec l'attribue à des facteurs extérieurs : 11ème budget , pas de remplaçants , joueurs sélectionnés, arbitrage. C'est moi culpabilusant que de dire : les joueurs n'ont pas été capable de faire ce que je leur demandé parce que cela implique sa responsabilité de n'avoir lui même été capable de leur expliquer ce qu'il leur demander ou plus grave que ce qu'il leur demandait était totalement impossible à appliquer .
De toute manière , il n'y a qu'une solution ....couper la jambe pour sauver le malade
