• Rentre dans la mêlée des discussions enflammées ! :) Inscris toi en 2 minutes, et même en 10 secondes grâce à ton compte Facebook ! Les supporters t'attendent pour partager des avis ! JE M'INSCRIS ›››

Aime Giral

el xot

Titan du forum
MEMBRE PREMIUM
http://images.lindependant.fr/images/2017/10/04/les-nuages-se-dissipent-au-dessus-de-la-pelouse-du-
les-nuages-se-dissipent-au-dessus-de-la-pelouse-du-stade_1001156_657x438p.jpg
stade_1001156_657x438p.jpg?v=1
 
http://images.lindependant.fr/images/2017/10/04/les-nuages-se-dissipent-au-dessus-de-la-pelouse-du-
les-nuages-se-dissipent-au-dessus-de-la-pelouse-du-stade_1001156_657x438p.jpg
stade_1001156_
USAP : Réfection de la pelouse d’Aimé Giral, « la mairie de Perpignan assumera » selon J.-M. Pujol


Les Catalans accueillent Dax ce soir pour le compte de la 7e journée de Pro D2.

Mardi après-midi, Aimé Giral sentait bon la pelouse fraîchement tondue. Et y en jetant un coup d’œil rapide, le pré semblait bien vert. Mais, en observant plus en détail le terrain, toujours les mêmes trous et divers pièges, que les joueurs de l’USAP vont devoir éviter lors de la réception de Dax, ce soir à 21 heures.

  • Un budget de 600 000 euros
Une situation qui pourrait trouver un heureux dénouement suite aux déclarations récentes du maire de Perpignan Jean-Marc Pujol : « En ce qui concerne la pelouse d’Aimé-Giral, il faudra effectivement la changer. Le chantier est important. Il faut refaire le drainage et installer une nouvelle pelouse. Les études avancent, le budget serait de 600 000 euros et non pas d’un million comme je l’entends. C’est une grosse somme. Je sais très bien que la mairie devra l’assumer et l’assumera».


Une opinion qui a évolué depuis le mois de juillet dernier. À l’époque le premier magistrat de la cité catalane estimait « qu’il n’y avait rien à redire », sur la pelouse de la Cathédrale (notre édition du 22 juillet). Pour autant le maire de Perpignan rappelle qu’« à une époque nous avions proposé cette solution, les dirigeants d’alors de l’USAP ont préféré la création d’une pelouse synthétique qu’ils ne veulent plus utiliser aujourd’hui, car trop traumatisante pour les joueurs ».

Jean-Marc Pujol considère par ailleurs que : « Les rapports des clubs sportifs et des collectivités doivent évoluer. Les collectivités ne sont pas des vaches à lait ».


Pour rappel, dans un classement annuel des pelouses du Top 14 et de pro D2 effectué par la Ligue Nationale de rugby, celle d’Aimé Giral terminait 28e sur 29, lors de la précédente saison. Un état dégradé du terrain de jeu qui pose selon Christian Lanta, le directeur sportif de l’USAP, « un double problème, sportif et d’image ». Un problème donc, qui pourrait ne plus en être un. Reste à savoir quand.





C
?v=1
 
Retour
Haut