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François Rivière au comité directeur de la Ligue nationale de rugby : "Rendre à l’USAP ce...

La question est : que veut Rivière ?
1) un sponsor qui vient, qui paie et qui le laisse gérer comme il entend ?
2) un sponsor qui vient, qui paie et prend des responsabilités dans la gestion financière et sportive ?
1) un sponsor qui vient, qui paie et qui le laisse gérer comme il entend ? c'est ce que font les sponsors habituellement . Le sponsor met de l'argent par "amour" du club ( c'est le cas des tant critiqués sponsors "ancestraux" de l'Usap) ou il met de l'argent pour avoir un support médiatique pour son entreprise . C'est souvent les deux .
2) un sponsor qui vient, qui paie et prend des responsabilités dans la gestion financière et sportive ? Ce n'est pas dans les "attributions" du sponsor. Un actionnaire peut jouer ce rôle , à condition d'avoir suffisamment de poids dans le CA . Sachant qu'avec 50.1% des parts , on est le maître absolu .
 
1) un sponsor qui vient, qui paie et qui le laisse gérer comme il entend ? c'est ce que font les sponsors habituellement . Le sponsor met de l'argent par "amour" du club ( c'est le cas des tant critiqués sponsors "ancestraux" de l'Usap) ou il met de l'argent pour avoir un support médiatique pour son entreprise . C'est souvent les deux .
2) un sponsor qui vient, qui paie et prend des responsabilités dans la gestion financière et sportive ? Ce n'est pas dans les "attributions" du sponsor. Un actionnaire peut jouer ce rôle , à condition d'avoir suffisamment de poids dans le CA . Sachant qu'avec 50.1% des parts , on est le maître absolu .

Inexact. Regarde la Rochelle. Il y a plusieurs dizaine de sponsors qui ont des actions du club. Et Merling a des comptes à leur rendre.
 
Pour info, interview de Merling à Libé en 2016
Au nom de ces principes, quelles frontières vous fixez-vous ?
On ne transigera jamais avec la pérennité du club. Par exemple, on pourrait creuser un déficit d’un million d’euros en recrutant des grands noms et en calculant un retour sur investissement en cas d’accès à la demi-finale du Top 14. Mais si on échoue ? Qui va payer ? Il est hors de question de se mettre une telle pression. Autre limite qu’on se donne : chacun de nos actionnaires dispose d’une voix, quel que soit son poids économique. Et le pacte d’actionnaires prévoit que le club ne sera jamais vendu à une seule personne ou société.
 
Pour info, interview de Merling à Libé en 2016
Au nom de ces principes, quelles frontières vous fixez-vous ?
On ne transigera jamais avec la pérennité du club. Par exemple, on pourrait creuser un déficit d’un million d’euros en recrutant des grands noms et en calculant un retour sur investissement en cas d’accès à la demi-finale du Top 14. Mais si on échoue ? Qui va payer ? Il est hors de question de se mettre une telle pression. Autre limite qu’on se donne : chacun de nos actionnaires dispose d’une voix, quel que soit son poids économique. Et le pacte d’actionnaires prévoit que le club ne sera jamais vendu à une seule personne ou société.
Il parle d'actionnaires, pas de sponsors.
 
A la rochelle, les sponsors sont aussi actionnaires et vice-versa. Le président à 10%. Personne n est majoritaire.
Le club se définit comme une copropriété.
 
A la rochelle, les sponsors sont aussi actionnaires et vice-versa. Le président à 10%. Personne n est majoritaire.
Le club se définit comme une copropriété.
C'est la formule idéale, mais encore faut-il qu'il y ait sur la place des actionnaires entrepreneurs et non quelques boutiquiers affairistes.
Sur ce point, Perpignan et les PO, riches en emplois publics et retraités n'a pas le même potentiel de développement que La Rochelle, dotée d'un véritable bassin économique, au sein d'un département dynamique.
 
Inexact. Regarde la Rochelle. Il y a plusieurs dizaine de sponsors qui ont des actions du club. Et Merling a des comptes à leur rendre.
S'ils ont des actions , ils sont actionnaires donc le président lors des CA a des comptes à rendre , s'ils ont un certains poids . ( A l'Usap les autres actionnaires ne représentent rien : moins de 5% à eux tous.)
En même temps , ils participe à l'élaboration du budget en étant sponsors (partenaires ) . C'étaient le cas des anciens actionnaires du temps de l'épicier .
Le seul actionnaire pur c'est l'épicier: a part l'achat des actions au départ , il n'a JAMAIS mis un centimes dans l'Usap. Et encore cela il l'a chier : il n'a pas voulu prendre 51% des actions . Devenu minoritaire , il a pris UN PIED AU CUL MEMORABLE.

PS Il y avait longtemps que je n'avais placé mon coup de pied au cul fétiche.hahahahahaha
 
C'est la formule idéale, mais encore faut-il qu'il y ait sur la place des actionnaires entrepreneurs et non quelques boutiquiers affairistes.
Sur ce point, Perpignan et les PO, riches en emplois publics et retraités n'a pas le même potentiel de développement que La Rochelle, dotée d'un véritable bassin économique, au sein d'un département dynamique.

D'accord avec toi sur la situation du département.
Mais faudrait-il encore que le président en place accepte ce type de gouvernance.
J'ai des amis partenaires qui sont partis en 2018/2019 quand la majorité des contrats (staff/joueurs) ont été renouvelés.
 
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