Ousap
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J'ai retenu ces propos.
TOP 14 - Interrogé sur sa saison avec Agen, le troisième ligne Marc Baget a avoué être marqué par la dimension physique prise par le championnat ces dernières années.
"Le Top 14, c'est devenu une boucherie organisée ! C'est toujours plus vite, toujours plus fort et toujours plus longtemps !" Cette déclaration est signée de Marc Baget (31 ans), le troisième ligne d'Agen, ce vendredi dans les colonnes de La Dépêche du Midi. Au moment de faire le bilan de sa saison, il a confié avoir été particulièrement marqué par la dimension physique qu'a pris le Top 14 ces dernières saisons.
Et de continuer son propos: "Avant, quand j'ai débuté, un huit costaud c'était un Thomas Lièvremont ou un Elvis Vermeulen qui pesaient 110 kg. Aujourd'hui, c'est un Vermeulen l'autre celui de Toulon, à 125 kg, et des Galan et Picamoles à 120 kg. Et cela s'applique à tous les postes".
Si cette évolution du rugby n'effraie pas spécialement l'ancien de Biarritz, Bayonne et Béziers, un autre sujet le préoccupe plus en revanche. "Ce qui m'inquiète, c'est l'avenir des jeunes joueurs français. J'ai le sentiment que les présidents s'embêteront de moins en mois à attendre l'arrivée à maturation de nos jeunes et se tourneront vers des joueurs déjà prêts venus de l'étranger [...] Aujourd'hui, un jeune qui se trompe, il dégage".
TOP 14 - Interrogé sur sa saison avec Agen, le troisième ligne Marc Baget a avoué être marqué par la dimension physique prise par le championnat ces dernières années.
"Le Top 14, c'est devenu une boucherie organisée ! C'est toujours plus vite, toujours plus fort et toujours plus longtemps !" Cette déclaration est signée de Marc Baget (31 ans), le troisième ligne d'Agen, ce vendredi dans les colonnes de La Dépêche du Midi. Au moment de faire le bilan de sa saison, il a confié avoir été particulièrement marqué par la dimension physique qu'a pris le Top 14 ces dernières saisons.
Et de continuer son propos: "Avant, quand j'ai débuté, un huit costaud c'était un Thomas Lièvremont ou un Elvis Vermeulen qui pesaient 110 kg. Aujourd'hui, c'est un Vermeulen l'autre celui de Toulon, à 125 kg, et des Galan et Picamoles à 120 kg. Et cela s'applique à tous les postes".
Si cette évolution du rugby n'effraie pas spécialement l'ancien de Biarritz, Bayonne et Béziers, un autre sujet le préoccupe plus en revanche. "Ce qui m'inquiète, c'est l'avenir des jeunes joueurs français. J'ai le sentiment que les présidents s'embêteront de moins en mois à attendre l'arrivée à maturation de nos jeunes et se tourneront vers des joueurs déjà prêts venus de l'étranger [...] Aujourd'hui, un jeune qui se trompe, il dégage".