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Dimanche attention danger

mikesierra

USAPiste sérieux
AVE CATALANUS CIVIS
Dimanche c'est une bete bléssée qui va venir à GIRAL '' lire les interwiew des dirigeants dans la presse) ils ont la tete au fond du seau, ils sont comme ce type qui se noie et qui ne veut pas mourir, et qui s'accroche à vous pour vous envoyer au fond!! APOLIT ils vont s'accrocher sur tout ce qui flotte 'attention au moindre flottement!! les grandes équipes ne meurent jamais SEULES:231183: s'ils peuvent se payer la peau d'un bourru catalan les occitans !!, pour s'en faire une descente de lit , croyez moi ils le feront!!!
 
Aucun danger , pour peu que l`usap joue sérieux et appliqué , on va tout droit vers une bonne trentaine de points voire plus et le BO , la motivation sera plutôt catalane qui doit valider son premier succés a l`extérieur .
Plus facile de jouer avec le moral et les vertus retrouvés qu`en étant dans une spirale de mauvais résultats .
Maintenant , il est impératif que l`usap rentre déterminée et agressive pour mater d`entrée l`adversaire .
 
Quelqu'un peut-il nous renseigner sur l'equipe narbonnaise?
le jeu...les joueurs...
merci les amics

1)
USAP Narbonne joue l'offensive mais est-il vraiment d'attaque ? | SportChoc.tv

PRO D2 : USAP NARBONNE, CE DIMANCHE À AIMÉ GIRAL .

Le Racing a été la bonne surprise, la saison dernière, en se hissant en demi- finale d'accession au Top 14. Narbonne figurait dans le top 20 du rugby français. D'attaque, il entendait pas en rester là. Seulement, à vouloir s'investir dans le jeu d'évitement, on risque de se brûler les ailes. C'est ce qui arrive à un Racing renversant, la grosse tuile de la mi-parcours du championnat de Pro D2.

Narbonne a changé de statut, c'est une évidence. La saison dernière, le RCNM n’a pas ajouté de trophée à sa collection déjà bien fournie (deux titres nationaux, 9 Challenges et une Coupe de France), mais il a assurément changé de statut en se hissant dans le top 20 des meilleures équipes de l’hexagone, illuminant le championnat par son jeu spectaculaire, résolument tourné vers la vitesse et l’offensive.
De quoi combler l’actionnaire principal du Racing, Rocky Elsom.
C’est d’ailleurs lui qui, à la manière d’un dirigeant politique, dressait son bilan au terme de sa première année d’exercice à la barre du navire orange: "Nous avons inscrit 76 essais , ce qui constitue un record historique, tout comme le nombre de victoires sur la saison (18). Nous avons également été invaincus à domicile, ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps" argumente l’ancien capitaine des Wallabies qui, au prix d’une préparation physique intense, a aujourd’hui retrouvé le gabarit avec lequel il avait pulvérisé Alesana Tuilagi en finale de HCup en 2009. Cette réussite sportive a relancé l’engouement autour du RCNM, comme en atteste la hausse de 40% de la billetterie, ainsi que celles des recettes, qui ont quasiment doublé (170 000euros à 230 000euros).

Un budget en légère baisse

Une question s’impose : les Narbonnais seront-ils capables de rééditer pareilles performances, de surcroît avec un budget moindre? Car malgré ce succès populaire et sportif, le budget du RCNM est passé de 4,6 à 4,3millions d’euros, en raison d’un "sponsoring local en baisse", selon Elsom. Un infléchissement qui n’inquiète pas pour autant l’homme fort du RCNM : "Il ne faut pas se fier à ce chiffre. Nous avons bien plus de contrôle sur notre budget que nous l’avons eu l’année dernière. Nous n’allons même pas dépenser la totalité de cet argent", assure-t-il. Et pourtant, le parcours décevant du 'Racing jusqu'ici lui donne tort.
En capitaine d’entreprise prudent, Elsom pratique une politique de rigueur sur laquelle il se montre inflexible. Une intransigeance qui l’a conduit à se séparer de plusieurs joueurs qui furent des acteurs majeurs de l’excellente saison passée, à l’image de Josh Valentine (Béziers), Benjamin Beaux (USAP), Bertrand Aurignac (Nevers), ou encore José Lima et Fabien Grammatico (Carcassonne), entre autres.
Mais là encore, dans un contexte économique délicat, la raison l’emporte : "Nous ne pouvons pas nous accrocher à des joueurs. Si nous avons 12 dollars en poche, nous ne pouvons pas en offrir 13. Sinon, nous offrirons ces 12 dollars à quelqu’un d’autre, qui saura saisir cette opportunité" , expose l’ancien capitaine de Wallabies.

Le Racing du rôle d'outsider à celui du maintien

D’autres joueurs ont choisi de saisir cette opportunité et les départs ont été compensés. Une fois encore, les recruteurs narbonnais avaientbdécidé de miser sur des jeunes joueurs à forts potentiels qu’ils devaient développer en les intégrant à leur fameux «programme», si cher à l’entraîneur des avants, Justin Harrison.
Les Narbonnais ont également enrôlé des joueurs d’expérience, notamment pour renforcer des postes clés (Edmonds au talonnage, Sheehan à la mêlée, Eadie à l’ouverture, sans oublier Elsom en 3e ligne centre).
Ainsi armé, le RCNM espèrait revivre la même aventure que la saison dernière, mais déclinait en ouverture du championnat, poliment le costume d’épouvantail du championnat : "Biarritz et Perpignan seront bien plus attendus que nous " expliquait en août Elsom. Avant de rappeler l’ingrédient principal de la réussite dans la saison précédente : "Si nous avons eu de tels résultats, c’est parce que les joueurs ont plus travaillé que n’importe quelle autre équipe. Avant d’évoquer le moindre objectif, il faut d’abord abattre le même volume de travail."
Et maintenant au boulot ! Pour d'abord se sauver de la relégation qui lui pend au nez. Ça ferait désordre. L'USAP ne l'avait pas vu venir, il y a un an. Comme le Racing d'aujourd'hui qui a encore de la marge, et loin d'être condamné.

SON PARCOURS

Narbonne - Mont de Marsan ..............12-20
Carcassonne - Narbonne ...................15-13
Narbonne - Béziers .........................25-15
Agen - Narbonne .............................43-8
Narbonne - Albi ...............................38-22
Massy - Narbonne ..........................39-25
Narbonne - Pau ...............................11-36
Narbonne - Aurillac .........................33-17
Montauban - Narbonne ...................17-18
Narbonne - Colomiers .....................10-19
Dax - Narbonne ................................12-3
Narbonne - Tarbes ...........................36-23
Narbonne - Biarritz ........................7-20
Bourgoin - Narbonne .......................32-18

SA FICHE TECHNIQUE

Fondation : 1906
Statut professionnel SASP
Budget de la SASP : 4,3 M€
Couleurs : Orange et Noir
Stade : Parc des sports et de l'amitié (capacité 12 000 spectateurs)
Siège : Parc des sports et de l'amitié
4, avenue Pierre de Coubertin BP 614 11106 Narbonne
Président de la SASP : Anthony Hill
Président de surveillance : Guy Madaule
Directeur du centre de formation : Sébastien Buada
Entraîneurs : Justin Harrison (avants) et Cris Whitekher (arrières)
Capitaine : Roky Elsom
Contrats pros : 27 et 21 au centre de formation
Équipementier : Adidas
Site web : RCNM - Racing Club Narbonne Méditerranée

Palmarès : Le Racing Narbonne a été sacré champion de France par deux fois en 1936, 1979 et a enlevé 9 challenges Yves du Manoir : 1968, 1973, 1974, 1978, 1979, 1984, 1989, 1990, 1991 et une coupe de France en 1985. Elle évolue en ProD2 depuis 2007.

Premier match cette saison : samedi 23 août 2014 devant Mont- de-Marsan : battu 12-20. Narbonne - USAP le 21 décembre 2014.

SES FORCES ET SES FAIBLESSES

Narbonne est tournée vers l'offensive et ça doit durer. Quelque soit son parcours avant Noël. C'est dans ses gènes. Ce constat n’aura échappé à aucun observateur du Pro D2: le jeu développé par les Narbonnais ressemble à celui que pratiquent les équipes de l’hémisphère Sud en Super 15, basé sur la vitesse de déplacement du ballon et les libérations rapides. Mais ça ne marche pas toujours en Pro D2. Le Racing est lisible et très attendu.
Ce dernier secteur est d’ailleurs la priorité absolue de l’entraîneur des avants, Justin Harrison, qui programme tout au long de la saison des ateliers techniques visant à développer la justesse et l’efficacité de l’action des soutiens offensifs. Pour ce faire, il se montre très exigeant sur la qualité des déblayages, qu’il convient d’adapter en fonction du pressing défensif, mais aussi rapidité de réaction des soutiens, qui doivent rapidement s’adapter au porteur de balle et au placement de la défense.
Chris Whitaker, son collègue en charge des arrières et qui fut sacré champion d’Europe avec le Leinster en 2009 se montre intransigeant sur la qualité et la précision de combinaisons effectuées à l’entraînement. : "Nous pouvons refaire une enchaînement dix, vingt, ou cinquante fois, jusqu’à ce que tout soit parfait ", témoigne l’arrière Quentin Etienne. Par étonnant qu’avec deux entraîneurs aussi pointilleux, les Narbonnais aient réalisé un parcours surprenant, la saison dernière. Mais qui ne fonctionne plus aujourd'hui.

Narbonne sous le joug de l'Hémisphère Sud

Il n’y a pas de mystère: si les Narbonnais ont réussi pareil parcours l’année dernière, c’est parce qu’ils ont abattu une masse considérable de travail, comme l’affirme l’actionnaire principal Rocky Elsom. Une application de tous les instants centrée sur les fondamentaux nécessaires à la mise en place de leur jeu ambitieux: condition physique optimale, qualité des déblayages pour offrir des libérations rapides, travail technique avec ballon entrepris quotidiennement dès la reprise... En font-ils moins aujourd'hui ? C'est une évidence.
Bref, au gré des semaines et de leurs efforts, les Narbonnais ont, petit à petit, gagné confiance en eux et en leur philosophie de jeu, résolument tournée vers l’offensive : "Je n’ai pas souvenir d’un moment dans la saison dernière où nous nous sommes interdits de jouer", raconte l’arrière Quentin Etienne.
Fidèles à la tradition locale qui prône le jeu de mouvement, les Narbonnais savaient que leur salut passerait par le jeu, et par l’offensive. Le pari s’avéra gagnant. Alors pourquoi changer une formule qui marche ? Ou qui se fait attendre ? Pour l'heure, le Racing a beaucoup produit et attend un retour sur investissement. Aller chez le voisin, l'USAP en pleine bourre, n'est sûrement pas l'étape la plus facile pour se relancer. Dimanche, c'est l'Alpe d'Huez qui lui est proposé.

+

2)
Pro D2 - Avant le derby USAP-Narbonne, Benjamin Beaux raconte son RCNM - Lindépendant.fr

Le plus francophone des Australiens de Narbonne ? Daniel Halangahu (demi d'ouverture ou centre, au club depuis 2013). Il est arrivé il n'y a qu'un an, mais il s'y est mis tout de suite et a rapidement maîtrisé le français.

Le plus talentueux ? Sans conteste Vincent Rattez (ailier, centre ou arrière, au club depuis 2012).

Le plus rapide ? Probablement Vincent Rattez également.

Le plus travailleur ? Sébastien Rouet (demi de mêlée, au club depuis 2013). Un bosseur, très pro dans tout ce qu'il fait jusque dans la salle de muscu.

Le plus fan de muscu ? Jono Jenkins (3e ligne aile, au club depuis 2012). Une machine. Un corps de body-builder. Sunia Koto Vuli (talonneur, au club depuis 2009) est également très fort, mais lui c'est plus naturel, morphologique.

Le plus fainéant ? Bertrand Aurignac (2e ligne, au club de 2009 à 2014). C'est ironique, mais c'est un 'vieux de la vieille' et la muscu c'est pas trop son truc.

Le plus 'ironman' ? Bertrand Aurignac et Nic Strauss (3e ou 2e ligne, au club depuis 2009). Des guerriers infatigables sur le terrain.

Le plus provocateur ? Fabien Grammatico (centre, au club de 2007 à 2014, désormais à Carcassonne). C'est un Catalan, il a le sang chaud !

Le plus gros mangeur ? Greg Fichten (pilier gauche, formé au club). Un sacré coup de fourchette !

Le plus 'ambianceur' ? Guillaume Borwin (3e ligne aile au club de 2007 à 2014, désormais à Gruissan). Il n'est plus au Racing mais il continue d'ambiancer les soirées narbonnaises.

Le plus coquet après la douche ? 'Seb' Rouet, dit La Roulette !

Le plus séducteur ? Guillaume Borwin. En plus il joue de la guitare. Il a une triple casquette.

Le plus Catalan ? Fabien Grammatico, et surtout 'Christo' Ruiz (demi d'ouverture, au club depuis 2005), tous les deux passés par l'USAP.

Le plus chauve ? Bertrand Aurignac. 'Seb' Petit (pilier gauche, au club de 2001 à 2004, et depuis 2013) ? Non lui c'est un faux chauve. En fait, il a tous ses cheveux mais il se rase le crâne.

Le plus poilu ? Pfff... (il réfléchit) Benoît Zanon (pilier droit, au club depuis 2013).


Voilà ce que j'ai trouvé ! :)
 
Dernière édition par un modérateur:
il faut la jouer serieux applique et confirmer notre victoire a albi
c est mainteanant que l usap doit enclancher sa serie de victoire
4 pts essentiels le bonus en extra
esperons que le stade soit bien garnie
a dimanche
 
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