Hakatalan
USAPiste sérieux
Aie aie aie... mrgreenmrgreenmrgreenmrgreen
EDIT : [MENTION=447]elchico66[/MENTION] désolé pour le doublon, je n'avais pas vu ton post...
http://www.lindependant.fr/2014/11/...lourdement-penalisee-par-l-urssaf,1950633.php
A peine remises en état, les finances de l’USAP sont à nouveau fragilisées. Le club catalan s’est fait épingler par l’URSSAF, laquelle a infligé au club catalan une lourde amende pour des manquements passés.
L’héritage est décidément lourd. Celui légué par ses prédécesseurs au président François Rivière n’en finit pas de freiner son projet de “reconquête” du Top 14. Sur le terrain tout d’abord, où l’USAP a bien du mal à faire valoir son statut de plus gros budget de Pro D2 et de club historique du rugby français. En coulisses également. Depuis le 12 août 2013 et la prise de contrôle du club centenaire par l’ancien candidat à la mairie de Perpignan, ce dernier a vite compris qu’à l’USAP, la vie est tout sauf un long fleuve tranquille.
Selon nos informations, le voilà confronté à une nouvelle ardoise inattendue, à six chiffres celle-ci. La première (mauvaise) surprise était venue de la sanction infligée par la DNACG, moins de six mois après son arrivée à la tête du club. 45 000 € à régler pour la gestion passée. Une paille par rapport à ce qui l’attendait. « Il a d’abord fallu recapitaliser le club à hauteur d’1,2 M€ pour faire face aux échéances à court terme, notamment auprès de l’URSSAF, à qui on devait près de 900 000 euros », rappelait dans nos colonnes François Rivière, le 19 janvier dernier. Sans oublier la dette structurelle à laquelle il a dû faire face : 2,5 M€.
La saison 2014-2015, en dépit d’un départ en Pro D2 suite à la relégation entérinée au mois de mai, devait être empreinte d’une sagesse financière, encouragée par la DNACG. Ce qui fut fait. Mais l’USAP avait au-dessus de sa tête une épée de Damoclès qui vient de lui tomber dessus. L’URSSAF a rendu récemment ses conclusions sur un contrôle diligenté envers le club “sang et or” sur la période 2009-2012. Celles de la fin du règne de Paul Goze (2007-2012), et de l’éphémère passage de Daniel Besson (novembre 2012 - août 2013).
350 000 € d’amende
Conclusions plutôt ennuyeuses : l’USAP se verrait infliger une amende de plus de 350 000 euros pour des déclarations inexactes sur les salaires, le droit à l’image, et les avantages en nature (notamment voiture et téléphone) des joueurs. « Ce qui est vraiment gênant, c’est que c’est le 3e contrôle qui débouche sur les mêmes reproches. Le club persistait dans son mauvais comportement », indique une source proche du club. Par conséquent, même si des discussions seront probablement engagées entre les dirigeants catalans et l’URSSAF, elles ont peu de chances de déboucher sur une situation favorable à l’USAP. Qui, au mieux, obtiendra un délai de paiement. Et au sein d’un club où « on ne dépensera pas ce que l’on n’a pas » (François Rivière dans L’Indépendant du 8 mai 2014), qui dit nouveau déficit, dit nouvelles économies. « J’ai injecté trois millions en cash et je reprends à mon compte près deux millions de dettes supplémentaires. C’est beaucoup plus que ce que j’avais pensé », concédait le président Rivière avant l’été. Et ce n’est peut-être pas fini.
EDIT : [MENTION=447]elchico66[/MENTION] désolé pour le doublon, je n'avais pas vu ton post...
http://www.lindependant.fr/2014/11/...lourdement-penalisee-par-l-urssaf,1950633.php
A peine remises en état, les finances de l’USAP sont à nouveau fragilisées. Le club catalan s’est fait épingler par l’URSSAF, laquelle a infligé au club catalan une lourde amende pour des manquements passés.
L’héritage est décidément lourd. Celui légué par ses prédécesseurs au président François Rivière n’en finit pas de freiner son projet de “reconquête” du Top 14. Sur le terrain tout d’abord, où l’USAP a bien du mal à faire valoir son statut de plus gros budget de Pro D2 et de club historique du rugby français. En coulisses également. Depuis le 12 août 2013 et la prise de contrôle du club centenaire par l’ancien candidat à la mairie de Perpignan, ce dernier a vite compris qu’à l’USAP, la vie est tout sauf un long fleuve tranquille.
Selon nos informations, le voilà confronté à une nouvelle ardoise inattendue, à six chiffres celle-ci. La première (mauvaise) surprise était venue de la sanction infligée par la DNACG, moins de six mois après son arrivée à la tête du club. 45 000 € à régler pour la gestion passée. Une paille par rapport à ce qui l’attendait. « Il a d’abord fallu recapitaliser le club à hauteur d’1,2 M€ pour faire face aux échéances à court terme, notamment auprès de l’URSSAF, à qui on devait près de 900 000 euros », rappelait dans nos colonnes François Rivière, le 19 janvier dernier. Sans oublier la dette structurelle à laquelle il a dû faire face : 2,5 M€.
La saison 2014-2015, en dépit d’un départ en Pro D2 suite à la relégation entérinée au mois de mai, devait être empreinte d’une sagesse financière, encouragée par la DNACG. Ce qui fut fait. Mais l’USAP avait au-dessus de sa tête une épée de Damoclès qui vient de lui tomber dessus. L’URSSAF a rendu récemment ses conclusions sur un contrôle diligenté envers le club “sang et or” sur la période 2009-2012. Celles de la fin du règne de Paul Goze (2007-2012), et de l’éphémère passage de Daniel Besson (novembre 2012 - août 2013).
350 000 € d’amende
Conclusions plutôt ennuyeuses : l’USAP se verrait infliger une amende de plus de 350 000 euros pour des déclarations inexactes sur les salaires, le droit à l’image, et les avantages en nature (notamment voiture et téléphone) des joueurs. « Ce qui est vraiment gênant, c’est que c’est le 3e contrôle qui débouche sur les mêmes reproches. Le club persistait dans son mauvais comportement », indique une source proche du club. Par conséquent, même si des discussions seront probablement engagées entre les dirigeants catalans et l’URSSAF, elles ont peu de chances de déboucher sur une situation favorable à l’USAP. Qui, au mieux, obtiendra un délai de paiement. Et au sein d’un club où « on ne dépensera pas ce que l’on n’a pas » (François Rivière dans L’Indépendant du 8 mai 2014), qui dit nouveau déficit, dit nouvelles économies. « J’ai injecté trois millions en cash et je reprends à mon compte près deux millions de dettes supplémentaires. C’est beaucoup plus que ce que j’avais pensé », concédait le président Rivière avant l’été. Et ce n’est peut-être pas fini.
l'ardoise risque de nous tuer!!! MERCI QUI?:bravo:
