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Et pendant ce temps la

mikesierra

USAPiste sérieux
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mas de la porta ferrada
AVE CATALANUS CIVIS
Et pendant ce temps là , il y en à qui trouvent encore "des poils aux œufs à l'usap!!" tandisque notre beau monde d'en haut je veux dire les quelques"mécenes" pas si desinteresses que cela se crêpent le chignon, (voir l'article et interwiew de notre nanar LAPORTE au sujet de la nouvelle affaire KOCKOT":231183:"je cite il sera chez nous l'a saison prochaine" et d'enchainer quelques vérités et amabilités bien placées sur l'honneur de certains joueurs!!!
D'un autre coté le duel de LORENZETI envers le lunetier de BAYONNE"je cite moi j'habite en suisse mais je paye mes impots en France" FDRhahahaha lui il est expatrié en angleterre et ne paye pas d'impots en France":cartonr:
Pour terminer BLANCO dit" on reglera les comptes plus tard avec ce monsieur":cartonr:
Voilà il fut un temps ou ces comptes se reglaient sur le terrain entre joueurs, et puis ils allaient boire une mousse ensemble!! maintenant on se les regle par medias interposés!!! prenant en otage les joueurs!!(remember l'affaire BRUNI°)
Alors si certains revent ici à l'usap de ce monde là, avec des mécènes qui ont le portefeuille à la place du cœur!!! et l'humain dans la poche arriere du pantalon!! il ne faudra pas s'etonner que le stade un jour se vide de passionnés laissant la place à des BRAILLARDS§§ qui ne viendront que pour voir un grand BARNUM;
Et pendant ce temps là, la ligue est prete à sacrifier à ces mécènes, pour quelques poignées de pesos, la couverture mediatique du top 14, au profit du QUATAR.
Ils finiront comme le roi MIDAS , à force de vouloir tout transformer en or à ne plus pouvoir "BOUFFER" et crever la "gueule ouverte"
 

plfor

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Dans les années 1920 ( il me semble ) quillan dirigé par un fortuné patron d`usines , avait carrément pillé l`usap de ses meilleurs joueurs
Preuve que cela a toujours existé
 

gaspacho31

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Dans les années 1920 ( il me semble ) quillan dirigé par un fortuné patron d`usines , avait carrément pillé l`usap de ses meilleurs joueurs
Preuve que cela a toujours existé

1929 le titre Quillanais :le capitaine de l'usap avait été débauché amenant avec lui des catalans chez les gavatx:6775:
 

plfor

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On a toujours été pauvre , malgré cela on résiste et on se maintient !
 

gaspacho31

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Ça devait ronfler en Catalogne !!! :mad::mad::mad:

Source Wikipédia

Champion de France en 1929, finaliste en 1928 et 1930, cette période est étroitement liée à Jean Bourrel, président-mécène. Cet entrepreneur avait fait fortune en relançant à Quillan l'industrie du chapeau et avait mis ses connaissances de gestionnaire au service du rugby. Profitant d'un désaccord dans le club de l'Union sportive perpignanaise, champion 1925 et finaliste 1926, entre l'entraîneur Gilbert Brutus et ses dirigeants, Bourrel l'attire avec pas moins de sept de ses joueurs, dont les internationaux Marcel Baillette et Eugène Ribère[3]. Les deux saisons suivantes, il fait signer cinq ou six autres internationaux, réalisant la première équipe véritablement professionnelle, puisque les joueurs n'avaient qu'à se préoccuper de rugby, disposant d'un kiné et des balbutiements de la diététique. À charge pour ces derniers d'offrir aux supporters adverses les chapeaux "Thibet", les plus célèbres créations de Bourrel.

Ces années sont pourtant entachés par la violence. Le 20 mars 1927, le talonneur quillanais Gaston Rivière meurt lors des retrouvailles avec les Perpignanais. Pour limiter les frais de déplacement, le Championnat commençait par des phases de qualifications régionales. Celles du Languedoc étaient très disputées, et les "riches" quillanais y étaient particulièrement jalousés. En finale du championnat 1929, au stade des Ponts Jumeaux, à Toulouse, Quillan retrouve les rivaux de Lézignan. Selon le journaliste Marcel de Laborderie, présent sur les lieux, « le match tout entier ne fut qu'une succession de bagarres, de batailles rangées (...) interrompues de temps en temps par quelques mouvements de rugby de bonne classe (...) ». À l'heure de jeu, Lézignan mène 8-0, leur entraîneur Jean Sébédio, sûr de la victoire des siens, lance en direction de la tribune présidentielle des billets de banque, vociférant : « Vous voyez le pognon n'est pas tout en rugby. » Avant que Quillan inscrive trois essais et ne remporte le trophée. À la suite de cette finale, Lézignan fut exclu du championnat par la Fédération française tandis que le comité du Languedoc en fit de même avec le club de Quillan. Même si ces équipes furent réintégrées peu après, les nations britanniques, excédées par la violence sur les terrains et les accusations d’amateurisme marron du Championnat, exclurent l'équipe de France du Tournoi des V nations. Accusé de « non-respect de l'amateurisme », la star quillanaise, Jean Galia, principal acteur de la finale 1929, ainsi que l'équipe de Lézignan (se lançant alors définitivement dans le rugby à XIII et le professionnalisme) furent exclu par la FRR, pour tenter de sauver les meubles. Jean Bourrel se désengagea et le club s'assoupit jusqu'au milieu des années 50.

À cette époque, Paul Barrière, neveu de Jean Bourrel et président de la Fédération de jeu à XIII, persuade l’entreprise DeLarue d'installer la seule usine de Formica de France, à Quillan[4]. Tous les joueurs travaillent dans l'usine qui employa jusqu'à 1 200 personnes. En 1955, le club devient champion de France de troisième division. En 1963, l'US Quillan fusionne avec le Club athlétique omnisport d'Espéraza donnant naissance à l'Entente Quillan Espéraza (qui deviendra par la suite l'Union sportive Quillan Espéraza). Dès l'année suivante, le club, sous sa nouvelle appellation, devient champion de France de deuxième division et accède au niveau supérieur. De 1964 à 1978, le club se maintient parmi l'élite du rugby français[5]. Mais la formation suit les performances de l'entreprise, qui périclite dans les année 1980[4] (et sera définitivement fermée en 2003
 
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