J'ai beaucoup aimé cette nouvelle façon de voir les mélées avec la caméra sur l'arbitre, ça donne une immersion plus forte.
MAIS, entre les caméras embarqués des arbitres de l'HCUP et ceux du TOP14, il y a pas photo.
TOP 14
et HCUP
Je comprends pas qu'on choissise un attirail encombrant et je ne sais pas si je suis le seul mais la qualité est plus que médiocre. De plus la fixation sur la tête a un rendu trop instable et l'image bouge trop (ce qui est normal).
Je pense qu'il serait bien que canal+ demande conseil sur le modèle de nos amis les britishs.
Faudra peut être que l'arbitre demande une petite augmentation vu qu'il devient arbitre caméraman LoL
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Après la Beck-cam qui avait suivi en exclusivité David Bekham lors de son premier match avec le PSG, Canal+ a proposé à ses abonnés une nouvelle expérience: voir le mach de rugby Stade Français – Toulon grâce à la ref-cam.
La ref-cam pour referee (arbitre)-camera, est une caméra portée durant tout le match par l’arbitre. Elle permet de filmer les actions de jeux telles que l’arbitre les voit et offre aux téléspectateurs l’illusion d’être sur le terrain, au plus près des joueurs. Cette nouvelle technologie pourrait véritablement changer la façon de filmer les évènements sportifs et offre de nouvelles perspectives pour les chaines.
Canal+ a introduit cette caméra pour le match opposant le Stade Français à Toulon, mais l’expérience avait déjà été tentée en février par la chaîne Fox Sports en Australie, lors du championnat des clubs de l’hémisphère sud entre les Queensland Reds et les Waratahs. Pour le moment ce dispositif est en phase de test puisque la chaîne ne prévoit pas de le réutiliser d’ici la fin de la saison.
Read more at http://www.socialtv.fr/technologie/canal-innove-refcam/#04HGl51vP3pFQMtS.99
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Le 30 mars, Canal+, le diffuseur exclusif du Top 14, innovait en équipant l'arbitre de la rencontre Stade Français/Toulon d'une caméra frontale. Grâce à cette «Referee Cam» («caméra arbitre»), les abonnés ont pu, tout au long de la retransmission, se mettre dans la peau de l'homme en noir, s'immerger au coeur du jeu et bénéficier d'angles de vues inédits.
«Cela a créé un buzz formidable, se félicite Eric Bayle, le responsable du rugby à Canal+. Neuf personnes sur dix ont apprécié l'opération. Sur le drop et la pénalité de Jonny Wilkinson, l'arbitre étant placé derrière l'ouvreur toulonnais, les abonnés ont pu voir clairement le ballon passer au milieu des poteaux, ce qui était plus difficile avec les caméras latérales. Après la Spider Cam, la Super Loupe, l'arbitrage vidéo et la palette 3D, ce nouvel outil démontre notre volonté d'enrichir et d'améliorer nos retransmissions.»
Ce test grandeur nature s'étant révélé concluant, la chaîne cryptée a décidé, en accord avec la Ligue nationale de rugby (LNR) et la Commission centrale des arbitres de la Fédération française de rugby (FFR), de transformer l'essai lors des phases finales du Championnat, c'est-à-dire sur les barrages (11 et 12 mai) et les demi-finales (24 et 25 mai). Concernant la finale (le 1er juin), codiffusée avec France 2, les discussions sont encore en cours.
«Franchement, j'ai été agréablement surpris, confie Romain Poite, l'arbitre de ce Stade Français/Toulon et caméraman d'un jour. Au début, je craignais que cette caméra ne me gêne. Elle pèse 180 grammes mais n'a aucune conséquence sur les mouvements de tête. Pas plus que le port du gilet, que l'on porte sous son maillot et qui abrite les émetteurs et la batterie pour alimenter la caméra, ne se révèle handicapant dans les déplacements.»
Sur les phases de jeu statiques - pénalité, transformation, drop, lancer en touche ou mêlée -, la «Ref Cam» offre un réel intérêt. Ce n'est pas le cas quand l'arbitre est en mouvement durant une action. «On assume sa sur-utilisation lors de cette première, car nous souhaitions maximiser le test, reconnaît Eric Bayle. Avec Laurent Daum, le réalisateur, et François-Charles Bideaux, le directeur de la production des sports, nous avons convenu de ne plus l'utiliser quand l'arbitre court, pour éviter cet effet nauséeux à l'image, et à l'entrée en mêlée, quand il regarde à droite, puis à gauche, avant l'introduction du ballon.»
Romain Poite, qui a officié sur deux matchs du dernier Tournoi des VI Nations (pays de Galles/Irlande et Italie/pays de Galles), ne voit aucun inconvénient à pérenniser l'expérience. «Ça n'a pas changé ma façon d'arbitrer, explique-t-il. Le rugby est un sport tellement compliqué à comprendre, d'où l'utilisation de l'arbitrage-vidéo et du micro-cravate. Tous ces dispositifs obéissent au même objectif: rendre ce sport plus compréhensible au grand public.»
Jamais à court d'idées, les techniciens de Canal+ travaillent à la mise au point d'une caméra de seulement 40 grammes, associée à un système d'attelage plus esthétique.
MAIS, entre les caméras embarqués des arbitres de l'HCUP et ceux du TOP14, il y a pas photo.
TOP 14
et HCUP
Je comprends pas qu'on choissise un attirail encombrant et je ne sais pas si je suis le seul mais la qualité est plus que médiocre. De plus la fixation sur la tête a un rendu trop instable et l'image bouge trop (ce qui est normal).
Je pense qu'il serait bien que canal+ demande conseil sur le modèle de nos amis les britishs.
Faudra peut être que l'arbitre demande une petite augmentation vu qu'il devient arbitre caméraman LoL
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Après la Beck-cam qui avait suivi en exclusivité David Bekham lors de son premier match avec le PSG, Canal+ a proposé à ses abonnés une nouvelle expérience: voir le mach de rugby Stade Français – Toulon grâce à la ref-cam.
La ref-cam pour referee (arbitre)-camera, est une caméra portée durant tout le match par l’arbitre. Elle permet de filmer les actions de jeux telles que l’arbitre les voit et offre aux téléspectateurs l’illusion d’être sur le terrain, au plus près des joueurs. Cette nouvelle technologie pourrait véritablement changer la façon de filmer les évènements sportifs et offre de nouvelles perspectives pour les chaines.
Canal+ a introduit cette caméra pour le match opposant le Stade Français à Toulon, mais l’expérience avait déjà été tentée en février par la chaîne Fox Sports en Australie, lors du championnat des clubs de l’hémisphère sud entre les Queensland Reds et les Waratahs. Pour le moment ce dispositif est en phase de test puisque la chaîne ne prévoit pas de le réutiliser d’ici la fin de la saison.
Read more at http://www.socialtv.fr/technologie/canal-innove-refcam/#04HGl51vP3pFQMtS.99
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Le 30 mars, Canal+, le diffuseur exclusif du Top 14, innovait en équipant l'arbitre de la rencontre Stade Français/Toulon d'une caméra frontale. Grâce à cette «Referee Cam» («caméra arbitre»), les abonnés ont pu, tout au long de la retransmission, se mettre dans la peau de l'homme en noir, s'immerger au coeur du jeu et bénéficier d'angles de vues inédits.
«Cela a créé un buzz formidable, se félicite Eric Bayle, le responsable du rugby à Canal+. Neuf personnes sur dix ont apprécié l'opération. Sur le drop et la pénalité de Jonny Wilkinson, l'arbitre étant placé derrière l'ouvreur toulonnais, les abonnés ont pu voir clairement le ballon passer au milieu des poteaux, ce qui était plus difficile avec les caméras latérales. Après la Spider Cam, la Super Loupe, l'arbitrage vidéo et la palette 3D, ce nouvel outil démontre notre volonté d'enrichir et d'améliorer nos retransmissions.»
Ce test grandeur nature s'étant révélé concluant, la chaîne cryptée a décidé, en accord avec la Ligue nationale de rugby (LNR) et la Commission centrale des arbitres de la Fédération française de rugby (FFR), de transformer l'essai lors des phases finales du Championnat, c'est-à-dire sur les barrages (11 et 12 mai) et les demi-finales (24 et 25 mai). Concernant la finale (le 1er juin), codiffusée avec France 2, les discussions sont encore en cours.
«Franchement, j'ai été agréablement surpris, confie Romain Poite, l'arbitre de ce Stade Français/Toulon et caméraman d'un jour. Au début, je craignais que cette caméra ne me gêne. Elle pèse 180 grammes mais n'a aucune conséquence sur les mouvements de tête. Pas plus que le port du gilet, que l'on porte sous son maillot et qui abrite les émetteurs et la batterie pour alimenter la caméra, ne se révèle handicapant dans les déplacements.»
Sur les phases de jeu statiques - pénalité, transformation, drop, lancer en touche ou mêlée -, la «Ref Cam» offre un réel intérêt. Ce n'est pas le cas quand l'arbitre est en mouvement durant une action. «On assume sa sur-utilisation lors de cette première, car nous souhaitions maximiser le test, reconnaît Eric Bayle. Avec Laurent Daum, le réalisateur, et François-Charles Bideaux, le directeur de la production des sports, nous avons convenu de ne plus l'utiliser quand l'arbitre court, pour éviter cet effet nauséeux à l'image, et à l'entrée en mêlée, quand il regarde à droite, puis à gauche, avant l'introduction du ballon.»
Romain Poite, qui a officié sur deux matchs du dernier Tournoi des VI Nations (pays de Galles/Irlande et Italie/pays de Galles), ne voit aucun inconvénient à pérenniser l'expérience. «Ça n'a pas changé ma façon d'arbitrer, explique-t-il. Le rugby est un sport tellement compliqué à comprendre, d'où l'utilisation de l'arbitrage-vidéo et du micro-cravate. Tous ces dispositifs obéissent au même objectif: rendre ce sport plus compréhensible au grand public.»
Jamais à court d'idées, les techniciens de Canal+ travaillent à la mise au point d'une caméra de seulement 40 grammes, associée à un système d'attelage plus esthétique.
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